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Lee Haney, une vie vouée au culturisme

Dès que nous prononçons son nom, nous pensons tout de suite à ses huit victoires à Mr Olympia entre 1984 et 1991. Lee Haney est connu et reconnu mondialement pour détenir avec Ronnie Coleman, le record du nombre de victoires au très célèbre concours de culturisme.

Aujourd’hui,  à la retraite, Lee Haney anime une émission sur une chaine chrétienne américaine, à forte audience, la «Trinity Broadcasting Network». Dans cette émission, Lee Haney véhicule l’importance de cultiver son développement physique, en relation avec son développement spirituel. Au cours de l’émission, il est d’ailleurs souvent rejoint par des personnalités sportives.

Mais, au-delà de ses incroyables victoires et de son show  télévisuel, percevons-nous vraiment à quel point, Lee Haney a voué sa vie au Culturisme? Bien plus qu’une discipline sportive, Lee Haney a fait du  culturisme sa passion, son éducation et son chemin de vie.

Passionné de muscle depuis ses 6 ans :

Si certains bodybuilders sont venus au culturisme par le biais d’autres sports, Lee Haney voue une passion débordante pour les muscles depuis son plus jeune âge. Né en 1956, en Géorgie, Lee Haney va très vite développer sa fascination pour le culturisme. En effet, à 6 ans, ses modèles sont déjà Samson de l’Ancien Testament et le fameux Hercule de la Mythologie grecque. À partir de ce moment, une seule chose comptera aux yeux de l’enfant : parvenir à acquérir le physique musclé de ses idoles.

Doté d’une forte personnalité et d’une détermination inébranlable, à l’âge de 10 ans Lee Haney demande à ses parents, ses premiers poids. Écoutant les désirs de leur fils, les parents de Lee Haney lui offrent donc ses premiers poids comme cadeau de Noël. Le présent est accompagné même d’un livre d’entrainement, le célèbre Charles Atlas. Ce livre va constituer sa source d’inspiration et de motivation. Véritable bible du culturisme, il y puisera une grande partie de son savoir en matière d’entrainement et de nutrition.

Encouragé par ses parents, Lee Haney se crée son monde autour du culturisme. Il se documente dans les meilleures magazines de culturisme tel que Muscle et Fitness et  Muscle Builder de Joe Weider. Il accroche des posters des bodybuilders reconnus, sur les murs de sa chambre.

Le culturisme est sa raison de vivre. À un tel point, qu’à ses 14 ans,  son père soudeur, lui fabrique une machine à rames T-bar. Lee Haney s’entraine chez lui, s’inspirant des informations glanées dans les magazines. Un jour, lui aussi, comme Arnold Schwarzenegger, deviendra une légende du Bodybuilding. Lee Haney le sait et se prépare…

Son chemin vers le professionnalisme :

Ses soulevés de poids à la maison, commencent à dessiner les muscles de Lee Haney. Il décide alors de rejoindre le YMCA local. Là il rencontrera Danny Rogers, qui percevra dès son arrivée, tout le potentiel de Lee Haney. Il le prend alors sous son aile pendant 4 ans, afin de le mener vers le chemin du professionnalisme. Il lui enseignera notamment comme lever les poids correctement. En 1973, Lee Haney offre désormais une musculature déjà bien harmonieuse.

Son physique attire les sympathies et Lee est invité à rejoindre diverses disciplines sportives au lycée, telles que le football, l’athlétisme et le Basketball.  

Ses performances lui vaudront même l’obtention d’une bourse d’études pour rentrer à l’Université. Malgré cet honneur, Lee Haney n’oublie pas son rêve de devenir bodybuilders professionnels.

Après avoir exposé à ses parents ses intentions, Lee Haney quitte le chemin des études pour se consacrer uniquement à sa passion, le culturisme.

Ses années de compétitions :

Lee Haney découvrira le monde de la compétition, une première fois en 1975, pour le concours de  M. Caroline du Sud. Il a 16 ans. C’est son premier spectacle. Il n’est pas du tout préparé à cet univers et défile donc en marchant, avec une tenue inappropriée. Son ignorance des codes de la compétition ne lui permettra pas de se classer. Mais au lieu de se décourager face à cette défaite, le jeune Lee vient d’attraper le virus du challenge.

Il se préparera alors pendant trois ans. Et en 1979, Lee Haney se présente au concours de M. América (en catégorie jeune), avec un physique plus qu’avantageux, une musculature imposante et une  confiance solide. Ces efforts sont récompensés. Son rêve prend forme. Lee Haney vient de remporter son premier concours !

Mais loin de perdre la tête avec cette première victoire, Lee Haney se retire pendant trois ans, des compétitions. Il cherche l’excellence. Dans sa quête de la perfection, il va continuer de sculpter son corps afin de parvenir en 1982 au physique le plus surprenant de tous les temps.

Désormais, plus rien n’arrête la star montante. Lee Haney remporte en 1982 les Juniors Nationals (catégorie poids lourds)    et le Championnat du Monde amateur. Ces victoires lui donnent accès à sa carte professionnelle de culturisme. Lee Haney a alors 23 ans, son rêve se concrétise. Il devient professionnel.

En 1983, Lee Haney participe à de nombreuses compétitions en tant que professionnel et se place parmi les 7, les plus honorables :

  • Grand Prix d’Angleterre, 2e
  • Grand Prix de Las Vegas, 1er
  • Grand Prix de Suède, 2e
  • Grand Prix de Suisse, 3e
  • La nuit des Champions, 1er
  • M. Olympia, 3e
  • Le Championnat du monde professionnel, 3e

Lee Haney devient une légende:

À force de croire en son rêve, Lee Haney va même réussir à le dépasser en remportant 8 fois la victoire de M. Olympia entre 1984 et 1991. Lee Haney vient de battre le record de son idole Arnold Schwarzenegger (détenant 7  titres de M. Olympia). Lee Haney n’est plus un bodybuilder professionnel. Il devient une véritable légende du culturisme.

 Lee Haney est aujourd’hui un homme complet. Il anime son émission en partageant son idéologie d’allier corps et esprit pour trouver l’harmonie. Il a également écrit des livres sur sa passion et a créé sa propre marque de compléments sportifs.

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La masse saisissante de Jay Cutler

Pour leur engagement total dans la discipline et leur grande force morale, certains ont su se faire une place de choix dans la sphère du culturisme, devenant ainsi de véritables symboles de référence pour les adeptes de musculation. Parmi ces figures incontournables du culturisme, nous retrouvons bien évidemment le bodybuilder américain Jay Cutler.

Jay Cutler est sans aucun doute un des bodybuilders des plus massifs de l’histoire du culturisme. Avec son dos titanesque, Jay Cutler fut d’ailleurs, un des  plus redoutables rivales de Ronnie Coleman, lors des compétitions de M. Olympia. Il remportera d’ailleurs 4 fois le titre ultime de Mr. Olympia (2006-2007-2009 et 2010)

Découvrons ses secrets pour parvenir à une telle place.

Qui est Jay Culter ?

Jay Culter est un bodybuilder américain, né le 3 août 1973, à Sterling, Massachusetts. Il va suivre des études universitaires de justice pénale dont il décrochera son diplôme en 1993. Son souhait est de devenir un agent correctionnel pour une prison de haute sécurité.

À côté de sa passion pour le droit, Jay Culter va s’impliquer rapidement dans la musculation. Effectivement à ses 18 ans, il désire avant tout, améliorer son physique. Mais la musculature déjà impressionnante que révèlent les entraînements amène l’année suivante Jay Cutler,  à commencer les compétitions. Son premier concours est le Championnat de bodybuilding Worcester Gym de 1992 où il arrive deuxième.

Remportant la première place en 1993, des NPC Iron Bodies Invitational, chez les « teenages » et chez les hommes  en poids lourds, Jay Cutler poursuit alors les compétitions et gagne la première place des  NPC Teen Nationals en poids lourds, la même année.

Commence alors son parcours en tant que Bodybuilder professionnel où ses entrainements acharnés et ses titres feront de lui une véritable icône du culturisme.

Titres remportés par Jay Cutler :

Jay Cutler va participer à de nombreuses compétitions. Il se distinguera dans les plus prestigieuses, remportant plusieurs fois leur titre tel qu’Arnold Classic et Mr. Olympa.

Palmarès de Jay Cutler :

  • 1993: NPC Iron Bodies Invitational – Adolescent et homme, poids lourds
  • 1993 : NPC Teen Nationals – poids lourds
  • 1995 : NPC Tournoi des champions des États-Unis – poids lourds  et global
  • 2000 : IFBB, Nuit des champions
  • 2002:  Arnold Classic
  • 2003 : Arnold Classic
  • 2003: Ironman Pro Invitational
  • 2003 : San Francisco Pro Invitational
  • 2003 : Grand Prix néerlandais
  • 2003 : Grand Prix britannique
  • 2004 : Arnold Classic
  • 2006 : Grand Prix d’Autriche
  • 2006 : Grand Prix de Roumanie
  • 2006 : Grand Prix néerlandais
  • 2006 : M. Olympia
  • 2007 : M. Olympia
  • 2009 : M. Olympia
  • 2010 : M. Olympia

 

 

Jay Cutler a remporté par moins de 18 titres de bodybuilding. Il fut aussi un des rares, à reconquérir son titre de M. Olympia en 2008, après sa défaite en 2007 face à Dexter Jackson. En 2011, il se placera deuxième au concours de M. Olympia suite à une blessure du biceps, un mois avant la compétition qui l’affaiblira beaucoup. En 2012, il ne peut concourir puisqu’il devra subir  une intervention médicale relative à sa blessure du biceps. En 2013, revenant sur la scène des compétitions, il arrive sixième de M. Olympia.

Les secrets de la musculature de Jay Cutler :

Jay Cutler doit son nom au palmarès des bodybuilders les plus reconnus grâce à sa rigueur dans ses entrainements, son alimentation stricte et ses préparations titanesques aux compétitions.

Son entrainement :

Adepte de la prise de masse, Jay Cutler base ses entrainements sur le « toujours plus ». Peu de repos, pour cet hercule du bodybuilding. Il enchaine les exercices et les séries, à une vitesse phénoménale.

Jay Cutler est tout à fait capable, de réaliser sur 2 séances, réparties sur la même journée :    10 exercices et 43 séries de 10 reps. Impressionnant !

  • Pour travailler ses biceps, il effectue du dumbell curls ou du barbell curls.
  • Pour les abdominaux, il exécute plusieurs séries de crunchs, muni de divers charges.
  • Pour les pectoraux, Jay applique la technique du développé couché en ordre, décliné, incliné et classique.
  • Pour travailler la partie inférieure de son corps, il fait appel à la technique du calf raises, dont il réalise 20 reps en une série de 10.
  • Pour les fesses et les quadriceps, Jay Cutler travaille les fentes et les squats.  

Mais avant une compétition, Jay Cutler, intensifie son entrainement en passant par une technique appelée military press où il réalise plusieurs désires de 10 reps. Après avoir terminé une série, Jay Cutler augmente les poids progressivement. Il effectue donc pendant son entrainement, une montée graduelle des charges.

Son alimentation :

Le régime de Jay Cutler est extrêmement riche en protéines, afin de pouvoir le soutenir dans sa prise de muscles. Il privilégie les aliments frais et à bannie de son alimentation, les aliments transformés. Il effectue environ 6 repas par jour.

Son utilisation de compléments alimentaires :

Afin de repousser toujours plus ses limites dans la prise de muscles, Jay Cutler a recourt à l’utilisation de compléments alimentaires comme le BCAA, les Vitamines, les minéraux, la créatine.

Son implication dans le bodybuilding :

Même si les concours, mettent en compétitions les bodybuilders entre eux, le monde du culturisme représente un monde de dépassement de soi, repousser ses limites toujours un peu plus loin mais le culturisme est aussi un monde d’entraide pour atteindre ses objectifs. Ainsi, Jay Cutler n’a pas hésité à partager son expérience parmi plusieurs vidéos :

  • Jay Cutler – A Cut Above (filmé en 1999, publié en 2002)
  • Jay Cutler – New Improved and Beyond (2004)
  • Jay Cutler – Ripped to Shreds (2005)
  • Jay Cutler – One Step Closer (2006)
  • Jay Cutler – De Jay à Z (2008)
  • Jay Cutler – Undisputed (2010)
  • Jay Cutler – The Ultimate Beef: une vie massive en bodybuilding (2010)
  • Jay Cutler – My House (2011)
  • Jay Cutler – Living Large (2013)

Un livre retrace également son parcours dans le bodybuilding : CEO MUSCLE – Jay Cutler’s No Nonsense Guide To Successful Bodybuilding

 

Il a aussi, comme d’autres figures du Bodybuilding, développé son propre site web où il donne des conseils pour donner le meilleur de soi.

Jay Cutler a su s’imposer dans le monde du culturisme, avec sa musculature herculéenne pour une taille de 1m75 et un poids en compétition de 125 kg.  Si votre objectif est de parvenir à un développement exceptionnel de votre masse, alors commencez par adopter sa doctrine : « S’entrainer pour devenir le meilleur ». Pas de demi-mesure, visez l’excellence !

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Sergio Oliva, “The Myth”

Le bodybuilding représente un sport assez controversé : on aime ou on n’aime pas.
Il n’existe pas de juste milieu ! Soit certaines personnes ne voient dans les culturistes que des personnes bourrées de stéroïdes étalant leurs muscles prêts à éclater pendant que d’autres admirent la définition parfaite des muscles apparents, summum du sublime.

Alors pour les amateurs de culturisme : si admirer les bodybuilders lors de leur show reste captivant, découvrir leur parcours en est encore plus fascinant voir déroutant. Effectivement, derrière une masse imposante ou des muscles extrêmement découpés, se dévoilent des parcours bien souvent accidentés, accompagnés d’un courage à toute épreuve et d’une forte détermination.

Sergio Oliva, célèbre culturiste cubain,  ne fut nullement appelé « le mythe » pour rien. Sous sa musculature robuste, le chemin de Sergio Oliva fut loin d’être lisse et du courage, de la force voir de l’audace, il lui en a fallu pour rentrer dans la légende de l’épopée du Bodybuilding.

Une adolescence sous le ciel de la révolution cubaine :

Sergio Oliva voit le jour  à La Havane (Cuba), le 4 juillet 1941. Dès son plus jeune âge, Sergio Oliva accompagne son père dans les champs de canne à sucre. A ses 16 ans, son père  souhaite qu’il intègre l’armée de Batista. Malgré l’absence d’acte de naissance du jeune Sergio, le responsable du recrutement le juge assez mûr pour rejoindre la lutte armée contre le communisme.

Sergio Oliva va donc se battre contre le régime de Fidèle Castro. Cependant, lui et ses compatriotes perdront la guerre contre Castro. Assistant aux changements dans son pays, Sergio commence alors à errer sur la plage. Signe du destin ou pur hasard, dans son errance il croisera le chemin d’un haltérophile qui l’invitera dans sa salle d’entrainement.   Là, il découvre un monde fait d’entraide et de fraternité lors des entrainements. Ces entrainements représentent aussi le dépasse de soi, aller toujours plus loin dans la recherche de ses propres limites. Sergio Oliva va se trouver en harmonie avec les valeurs morales de la discipline et y voir également une possible échappatoire de son pays.

Dès ce moment, Sergio Oliva se donne à fond dans l’entrainement. Très vite, il va même se faire remarquer et se distinguer par l’importance des poids qu’il soulève avec agilité.

Des compétitions cubaines à l’échappatoire jamaïcaine :

En un an d’entrainement, le jeune Sergio Oliva a réussi à développer une force, une endurance et une musculature  considérables. Il tente alors, le Championnat national d’haltérophilie de Cuba en 1962. Là, résultat plus que réjouissant puisqu’il arrive deuxième du concours, derrière Alberto Rey Games Hernandez.

Deuxième signe du destin : la même année, en 1962, le grand vainqueur du championnat, Alberto Rey Games Hernandez se blesse et ne peut donc plus concourir en Jamaïque, aux Jeux de l’Amérique centrale et des Caraïbes. Sergio Oliva sera alors choisi pour le remplacer. Ce dernier comprend très vite que cette occasion représente peut-être pour lui son passeport pour la liberté.

Arrivé à Kingston,  en Jamaïque, Oliva profite d’un moment d’inattention des gardes, pour échapper à leur vigilance. Son sort est alors en train de se jouer : Sergio Oliva se met à courir, à une vitesse phénoménale vers le Consulat américain. Paris réussi, il pousse les portes du consulat, complètement essoufflé et demande l’asile politique.  Son audace et sa volonté vont donner l’exemple à 65 autres ressortissants cubains, qui lui emboitent le pas.   

Sa révélation américaine :

Obtenir l’asile politique en Amérique représente pour Sergio Oliva et l’équipe  cubaine d’haltérophilie la concrétisation de leur liberté.

Sergio Oliva arrive donc, pour la première fois sur le sol américain en Floride, à Miami. Plus que motivé, il accepte dans un premier temps de petits boulots pour survivre : réparateur de télévision, déchargement de camion.

Une fois ayant pris ses marques, Sergio Oliva se décide à déménager pour Chicago, dans l’Illinois en 1963. Dans ce nouvel environnement, Sergio travaille à la fois dans une aciérie locale ainsi que dans l’association chrétienne YMCA Duncan. Sur son chemin, Sergio va rencontrer une figure locale du Bodybuilding : Bob Gajda (ancien M. America). Bob Gajda voit immédiatement en Sergio toutes ses potentialités physiques. Il le prendra donc sous sa responsabilité et l’introduira à la musculation.

Travaillant 12 heures par jour, Sergio trouve quand même le courage de pratiquer la musculation entre 2 et 3 heures, chaque soir.  Commençant ainsi la musculation, Sergio Oliva augmente rapidement son volume musculaire. Seulement quelques mois plus tard, il obtient même son premier titre : M. Chicagoland. Les efforts finissent toujours par payer !

Encouragé par ce premier trophée et les remarques sur son physique exemplaire, Sergio Oliva se lance donc dans les compétitions, année après année.

De ce parcourt de compétitions, s’étalant de 1963 à 1985, parcourt rempli de vitalité et d’ardeur, Sergio remportera au total 20 titres, le positionnant vainqueur. Grâce, à son audace et sa rigueur d’entrainement, Sergio  devient le premier bodybuilder noir à acquérir le titre de Mr Amérique, Mr Monde, Mr International, Mr Univers et Mr Olympia. Il remportera d’ailleurs,  trois fois le titre de champion de  M. Olympia (en 1967, 1968 et 1969). Surnommé « The Myth », il sera le seul à réussir à battre Arnold Schwarzenegger au concours de M. Olympia. Il se dit même que Sergio Oliva avait la capacité d’engourdir ses adversaires. Il inspirait alors autant la vénération que la crainte pour certains d’entre eux.   Sur scène, il était incroyablement massif. Surement le plus massif de sa génération, tout en gardant une taille assez fine.

Mr Olympia 1969
Mr Olympia 1969

Il terminera sa carrière de compétitions en 1985 tragiquement puisque sous l’emprise de la colère, sa femme lui tirera 5 balles dans l’abdomen.  Il s’en sortira, mais en restera affecté.

Au travers de son histoire, de ses épreuves traversées et de son audace de croire en sa capacité de réussir, Sergio Oliva a su se hisser dans la légende du Bodybuilding. Son parcours nous rappelle l’importance de ne rien lâcher (autant dans la vie quotidienne que dans les séances d’entrainement).Le chemin est souvent long, mais le chemin forge le caractère, comme le Bodybuilding façonne le corps.

Sergio  Oliva s’est éteint le 12 novembre 2012 à Chicago, Illinois, d’une insuffisance rénale. Mais « The Myth » continue de nous accompagner, comme symbole de persévérance.  

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Découvrez le dos extraordinaire de Samir Bannout !

Dos de Samir évoquant le "sapin de Noël"
Le célèbre dos de Samir évoquant le “sapin de Noël”

Contrairement à d’autres bodybuilders ayant marqué l’histoire de la discipline par leur palmarès bien rempli, Samir Bannout, quant à lui, marquera son passage dans le culturisme par une particularité physique plus que  particulière : son dos.
Effectivement, Samir Bannout a sûrement le dos le plus esthétique de toute l’épopée du bodybuilding, lui valant notamment le surnom assez original de « sapin de Noël ».

Samir Bannout, le reflet d’un bodybuilding esthétique, de la vielle-école :

Samir Bannout voit le jour, le 7 novembre 1995, sous le ciel du Liban.   Cependant, il est toujours resté très discret sur sa vie personnelle. Nous savons très peu de chose sur lui ni comment il rentre dans la pratique du Bodybuilding.

Mais nous retenons son physique frôlant la perfection. Samir Bannout, c’est des bras massifs, de très beaux pecs et biceps et un dos incroyablement détaillé, révélant une découpe parfaite de ses lombaires.  Le grand dorsal est également magnifiquement défini.    

Sa musculature irréprochable, Samir Bannout la doit, tout essentiellement,  à son programme d’entraînement.

Afin d’obtenir son incroyable dos, Samir Bannout a basé son entrainement sur quatre exercices principaux :  

  • Le Rowing penché à la barre : cet exercice est excellent pour faire travailler l’ensemble des muscles du dos. Il permet d’acquérir une bonne masse dorsale et de gagner en épaisseur. Cependant, il n’est pas conseillé aux débutants qui doivent d’abord renforcer leurs lombaires ainsi que leurs abdominaux. Samir Bannout était particulièrement fort à cet exercice en soulevant dans cette position jusqu’à 150 kg.
    Samir avec le Rowing penché barre
    Samir exécutant le  rowing penché barre
  • Le Tirage vertical prise serrée : cet exercice vise à renforcer les dorsaux et de les dessiner. Normalement, la plupart des coachs sportifs recommandent de ne pas trop s’étirer en arrière. Mais dans les vidéos d’entrainement de Samir Bannout, nous constatons qu’il ne respecte nullement cette recommandation et pousse vers l’arrière au maximum.
  • Les Tractions supinations : incontournables pour muscler le haut du corps (dos, biceps et abdominaux)
  • Le Rowing assis : cet exercice fait travailler les muscles du dos. Samir Bannout a utilisé le Rowing assis comme technique d’intensification.

Le développement esthétique de son physique lui a valu la une de plusieurs magazines comme :

  • Force and Health,
  • Muscle Digest, Flex,
  • Muscle Training Illustrated,
  • Muscle and Fitness,
  • Muscle Up,
  • MuscleMag International
  • Muscular Development .

Ses compétitions:

Samir Bannout va concourir de 1979 à 1996, et dont 17ans en tant que professionnel. Sa plus belle performance restera le titre de Mr Olympia en 1983. Il n’obtiendra cependant qu’une seule fois le titre, se faisant détrôner l’année suivante par Lee Haney qui enchaînera 8 fois le titre de Mr. Olympia de 1984 à 1991.

  • 7 ème à  Mr. Univers en 1974
  • 12 ème à Mr. Univers en 1976
  • 2ème à Mr. International en 1977
  • 2ème à Mr. International en 1979
  • 1er à Best in the World, catégorie Amateur en 1979
  • 1er au  World Amateur Championships en 1979
  • 4ème au  Grand Prix de Californie en 1980
  • 7ème au Grand Prix de Pennsylvanie en 1980
  • 10ème au Night of Champions en 1980
  • 15ème à  Mr. Olympia en 1980
  • 7ème au  Grand Prix de Californie en 1981
  • 6ème au Grand Prix de la Nouvelle-Angleterre en 1981
  • 10ème au Night of Champions en 1981
  • 9ème à Mr. Olympia en 1981
  • 2ème au  Grand Prix de Suède en 1982
  • 4ème à  Mr. Olympia en 1982
  • 1er à  Mr. Olympia en 1983

    Samir avec le trophée Sandow
    Samir avec le trophée Sandow
  • 5ème au Canada Pro Cup e, 1984
  • 6ème à  Mr. Olympia en 1984
  • 5ème au World Grand Prix en 1984
  • 1er au  WABBA World Championship en 1985
  • 1er au WABBA World Championship en 1986
  • 10ème au Grand Prix d’Angleterre en 1988
  • 9ème au Grand Prix d’Italie en 1988
  • 8ème à  Mr. Olympiaen 1988
  • 4ème au Arnold Schwarzenegger Classic en 1989
  • 6ème au Grand Prix de Finlande en 1989
  • 8ème au Grand Prix de France en 1989
  • 5ème au Grand Prix d’Allemagne en 1989
  • 5ème au Grand Prix de Hollande en 1989
  • 5ème au Grand Prix d’Espagne en 1989
  • 3ème au Grand Prix de Suède en 1989
  • 9ème à  Mr. Olympia en 1989
  • Il est disqualifié au Arnold Schwarzenegger Classic en 1990
  • 6ème au Grand Prix d’Angleterre en 1990
  • 5ème au Grand Prix de Finlande en 1990
  • 6ème au Grand Prix d’Italie en 1990
  • 3ème au Houston Pro Invitational en 1990
  • 8ème à Mr. Olympia en 1990
  • 1er au Pittsburgh Pro Invitational en 1990
  • 2ème au  NABBA World Championships Professional en 1990
  • Disqualifié à Mr. Olympia en 1991 pour avoir participé à la compétition concurrente NABBA – – disqualifié au Arnold Schwarzenegger Classic en 1992
  • 11ème au Grand Prix d’Allemagne en 1992
  • 16ème à  Mr. Olympia en 1992
  • 13ème au Arnold Schwarzenegger Classic en 1993
  • 13ème à Ironman Pro Invitational en 1993
  • 10ème à San Jose Pro Invitational en 1993
  • 14ème au Grand Prix d’Angleterre en 1993
  • 13ème au Grand Prix d’Allemagne en 1994
  • 12ème au  Grand Prix d’Italie en 1994
  • 12ème au Grand Prix d’Espagne en 1994
  • 19ème à Mr. Olympia en 1994
  • 6ème à Mr. Olympia en 1996.

Samir Bannout révèle avoir eu recours aux Stéroïdes anabolisants pendant sa carrière afin de pousser sa définition musculaire.

EN 2002, il fut intronisé au Temple de la Renommée de l’IFBB.

Même si Samir Bannout n’a reçu qu’une seule fois, le titre de Mister Olympia, il reste néanmoins l’un des plus beaux physiques de l’histoire du concours, sur le plan esthétique.

Samir Bannout à 56 ans

Il est toujours admiré pour sa musculature parfaitement découpée. Le 10 décembre 2011, il fait son retour pour le World Master de Miami  où à 56 ans, il affiche toujours un physique aussi attrayant, avec la moustache et les cheveux en moins !

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Ronnie Coleman, le plus colossal des bodybuilders

Avec son physique de superhomme, ses mensurations hors normes et  son entrainement acharné, Ronnie Coleman est devenu en 20 ans, une des figures les plus  spectaculaires de l’univers du Bodybuilding.

Ronnie Coleman force aussi l’admiration par son palmarès de trophées qu’il a su conquérir, avec ténacité, tout au long de son parcours, entre 1998 et 2007.

Le développement de sa musculature dès son plus jeune âge :

Le 13 mai 1964, Ronnie Coleman voit le jour en Louisiane, aux États-Unis. Jeune adolescent, il souhaite devenir
footballeur professionnel. Doté d’une forte volonté et afin de mettre toute les chances de son côté pour atteindre son rêve, Ronnie Coleman commence donc la musculation dès ses 13 ans.

Développant ainsi les bases de sa musculation, Ronnie Coleman  possède déjà une musculature remarquable à ses 19 ans.   Il fait alors le choix de se tourner vers le powerlifting. Représentant un sport de  force, Ronnie Coleman apprend avec le powerlifting à soulever des barres beaucoup plus lourdes que celles utilisées dans l’haltérophilie, à partir de mouvements assez basiques tels que le soulevé de terre, le développé couché et les squats.  Pendant ses années de powerlifting, Ronnie Coleman acquiert une force remarquable.

Tout en pratiquant son sport de force, Ronnie poursuit ses études en comptabilité dont il finit par décrocher la maitrise. Son diplôme en poche, les débuts professionnels de Ronnie sont difficiles. Il vit de petits jobs et se propose comme policier réserviste, poste qu’il occupera  jusqu’en 2003.

Sa rencontre avec le culturisme se réalise grâce à un propriétaire d’une salle de gym qui voyant déjà tout le potentiel de Ronnie Coleman, lui propose une adhésion à vie gratuite dans sa salle.

Ronnie Coleman délaisse alors le powerlifting pour se tourner vers le culturisme

Un entrainement acharné avec des charges énormes :

Avec le powerlifting, Ronnie Coleman a réussi à assimiler, au plus haut niveau, les mouvements de force athlétique. Il mettra alors à profit cette expérience pour la construction et l’intensification de sa masse musculaire.

Contrairement à l’avis de la plupart des entraineurs, Ronnie Coleman  fonde son entrainement sur des exercices de bases tels que les soulevés de terre et les squats, accompagnés de charges énormes.

Assister à ses entrainements relève du spectaculaire, comme le démontrent ses multiples vidéos, présentes sur You Tube.

Dans « The Unbelieveable », nous pouvons voir Ronnie Coleman réaliser des séries de  soulevées de terre  de  800 Poundsx2, c’est-à-dire 360 kilos de charge, de chaque côté de la barre.

Ou encore dans “The Cost of Redemption”  où il effectue deux répétitions aux squats à 360 kg. Tout simplement impressionnant !

Ronnie Coleman a donc opté pour son entrainement, pour des exercices de Powerlifting et  l’utilisation de charges libres. Il utilise très peu d’appareils guidés. Ronnie Coleman effectue des séries courtes avec des charges extrêmement lourdes et des répétitions élevées.

Chaque vidéo réalisée de ses entrainements montre un Ronnie repoussant à chaque fois, un peu plus ses limites.

A cet entrainement, Ronnie Coleman joint une alimentation équilibrée et adaptée à ses efforts et à ses objectifs. Résultats, il effectue comme beaucoup de bodybuilders, 6 repas par jour, répartis au court de la journée, pour un total de 5560 calories.   

Résultats de ses entrainements : un physique hors normes

Si nous ne connaissons pas toujours les mensurations de nos athlètes préférés, celles de Ronnie sont devenues tout simplement mémorables de par leur caractère hors norme.

Ronnie Coleman affiche donc les mensurations suivantes :

  • Taille : 1,80 m
  • Poids en compétition: 161 kg (Ronnie détient le record du poids en compétition)
  • Tour de taille:105 cm
  • Biceps: 61,5 cm
  • Poitrine: 147 cm
  • Cuisses: 96 cm
  • Mollets: 53 cm
  • Taux de graisse corporelle : 3 % (Ronnie est le plus massif des bodybuilders, mais aussi le plus sec en compétitions. Cette sèche remarquable rend le physique de Ronnie encore plus spectaculaire).

 

Une musculature aux multiples trophées :

Le travail acharné et son physique imposant ont propulsé Ronnie Coleman au rang du meilleur bodybuilder au monde.

Il faut dire qu’en termes de culturisme, Ronnie Coleman affiche un parcours plus que brillant :

  • Il obtient sa carte de bodybuilder professionnel en 1991
  • 5 ans seulement après sa reconnaissance professionnelle, Ronnie décroche  son premier titre en 1996.
  • Deux ans plus tard, en 1998 il arrive à la première place de Mr Olympia, le plus reconnu des concours de bodybuilding.
  • Il remportera la prestigieuse compétition de Mr. Olympia 8 fois de suite. Entre 1998 et 2005, impossible de détrôner le colosse. Il détient alors le record de titres de Mr Olympia. En 2006, il sera  cependant battu par Jay Cutler et se placera à la deuxième place.

Retour sur ses années de compétitions, entre 1990 et 2007 :

  • 1990: Il tente la compétition de Mr. Texas pour la catégorie poids lourds et arrive 3e du concours national NPC, toujours dans la catégorie poids lourds.  
  • 1991: Il concourt pour Mr Univers et le Championships USA NPC dans la catégorie poids lourds où il se classe 14e. Mais ses meilleures performances seront pour le championnat national NPS, catégorie poids lourds où il se place 4e et le championnat mondial amateur de l’IFBB qu’il remporte.
  • 1992: Cette année-là, il concourt dans trois compétitions ( le Night of Champions – IFBB, Chicago Pro Invitational – IFBB et Mr. Olympia) où il se place 14e et 11e pour les deux premiers et n’arrive pas à se classer pour le dernier.
  • 1993: Au Chicago Pro Invitational – IFBB, il arrive 6e. Au Grand Prix France – IFBB, il se place 4e et au Grand Prix d’Allemagne – IFBB, 6e. Il tente également le Niagara Falls Pro Invitational – IFBB, et se place 6e.
  • 1994 : Il concourt de nouveau pour le Grand Prix de France – IFBB et le Grand Prix d’Allemagne – IFBB, où il décroche la3ème place pour les deux compétitions. Au San Jose Pro Invitational – IFBB, il sera 4e.
  • 1995: Cette année, Ronnie déroche son premier titre professionnel lors du Canada Pro Cup – IFBB. Il participe aussi à 6 autres compétitions à travers le monde : Grand Prix de France – IFBB (4e),Grand Prix de Russie – IFBB (6e), Grand Prix d’Ukraine – IFBB (3e), le Houston Pro Invitational – IFBB (6e),  leNight of Champions – IFBB (3e) et Mr. Olympia – IFBB (11e).
  • 1996: Cette année-là, Ronnie remporte de nouveau son prix au Canada Pro Cup – IFBB. Il monte dans les classements des 6 autres compétitions, par rapport à l’année précédente : Florida Pro Invitational – IFBB (2e), Grand Prix d’Angleterre – IFBB (5e), Grand Prix d’Allemagne – IFBB (5e), Grand Prix d’Espagne – IFBB (5e), Night of Champions – IFBB (2e) et Mr.Olympia – IFBB (6e).
  • 1997: Une année chargée en compétitions puisque Ronnie va concourir pour 11 événements : le Arnold Classic – IFBB (4e), le Grand Prix de la République tchèque- IFBB (4e), le Grand Prix d’Angleterre – IFBB (5e), le Grand Prix de Finlande – IFBB (3e), le Grand Prix d’Allemagne – IFBB (5e), le Grand Prix d’Hongrie – IFBB (6e), le Grand Prix de Russie – IFBB (1er), le Grand Prix d’Espagne – IFBB (7e), le Ironman Pro Invitational – IFBB (3e), Mr. Olympia – IFBB (9e),  le San Jose Pro Invitational – IFBB (6e).
  • 1998: Année où Ronnie se démarque et rentre dans la légende du Bodybuilding.Il devient enfin Mr. Olympia et remporte le titre de 4 autres compétitions : le Grand Prix de Finlande – IFBB, le Grand Prix d’Allemagne – IFBB, le Night of Champions – IFBB, le Toronto Pro Invitational – IFBB. Il décroche aussi la seconde place de San Francisco Pro Invitational – IFBB.
  • 1999: Il maintient son titre de Mr Olympia ainsi que celui du Grand Prix d’Angleterre – IFBB. Il est également champion du monde au World Pro Championships – IFBB.
  • 2000: Il maintient ses trois précédents titres.
  • 2001: Il renouvelle son titre de Mr Olympia pour la troisième fois et arrive 1er pour le Arnold Classic – IFBB, ainsi que pour le Grand Prix de Nouvelle-Zélande – IFBB.
  • 2002: Il trône toujours à la première place de Mr. Olympia. Il remporte le Grand Prix de Hollande – IFBB, et se place second au Show of Strength Pro Championship – IFBB.
  • 2003: 6e fois Mr. Olympia. Il remporte aussi le Grand Prix de Russie – IFBB.
  • 2004: Ronnie trône aux premières place des compétitions suivantes : Grand Prix d’Angleterre- IFBB, Grand Prix d’Hollande – IFBB, Grand Prix de Russie – IFBB, et toujours Mr. Olympia – IFBB. Ronnie est au summum de sa gloire.
  • 2005: Il détient le record des titres de Mr. Olympia en le remportant pour la 8e fois consécutive.
  • 2006: Cette année, malgré un bon classement, Ronnie commence sa courbe descendante des classements en ne remportant que les secondes place des concours suivants : Grand Prix d’Autriche-IFBB, Grand Prix de Hollande – IFBB, Grand Prix de Roumanie – IFBB, et le fameux Mr. Olympia – IFBB où il se fait dépasser par Jay Cutler.
  • 2007: Il se place seulement 4e à la compétition de Mr. Olympia. Ronnie se retire cette même année, des compétitions.

Ronnie Coleman reste une figure incontournable du Bodybuilding, détenant toujours à l’heure actuelle, le record de titres de Mr. Olympia ainsi que le record du poids en compétition de 160 kilos.  Ronnie avouera en 2012, avoir eu recourt aux Stéroïdes en 1995 afin de booster sa prisse de masse.

Malgré son départ des compétitions, Ronnie reste très impliqué dans le milieu du culturisme. Il apporte des conseils en nutrition . Ronnie Coleman a aussi sorti sa propre marque de compléments alimentaires afin d’aider les adeptes du culturisme à développer au maximum leur potentiel physique.   

 

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3 Facteurs Clés pour Réussir ma Prise de Masse ?

Comment réussir sa prise de masse ? Tous nos conseils pour comprendre le mécanisme de la prise de masse et la réussir en choisissant la bonne cure.

Le système musculaire comptant 656 muscles, est le système le moins complexe de notre anatomie. Il se compose de deux différents pôles : les muscles à contrôle volontaire et les muscles à contrôle involontaire.

Les muscles à contrôle involontaire sont ceux du cœur, et de l’estomac.

A leur opposé il y a les muscles squelettiques qui permettent volontairement les mouvements du corps sur une demande du cerveau.

A ce signal les muscles vont se contracter ou se relâcher.

La musculation constitue environ 40% de la masse totale du corps pour un individu normal.

Le muscle est fixé par des tendons au squelette et se compose de trois couches de fibres comportant elles même des myofibrilles. Ces trois couches se nomment l’endomysium, le perimysium et l’epimysium.

Le muscle possède des artères et des veines nécessaires à l’irrigation sanguine. Enfin des nerfs y sont inclus. Ils sont important pour l’envoi et la réception de signaux.

Qu’est ce qu’une prise de masse ?

Un excédant calorique associé à un effort musculaire va pouvoir favoriser une prise de masse. Il s’agit donc de consommer plus de calories que son corps a besoin, de façon à en réserver pour la construction musculaire.

Le système nerveux va être le premier à s’adapter sur trois axes, avec le recrutement des unités motrices (UM), la coordination intermusculaire et la coordination intramusculaire.

Grâce aux veines et aux artères, un apport d’oxygène et d’énergie est véhiculé par l’irrigation sanguine. Enfin, les fibres musculaires au cœur de la contraction du muscle sont de deux types. Les fibres rouges et les fibres blanches.

Les fibres rouges sont d’un faible diamètre et à contraction lente, tandis que les fibres blanches sont d’un plus gros diamètre et à contraction rapide. Leurs proportions sont déterminées génétiquement.

Les 3 facteurs clés : nutrition, entrainement, récupération.

La prise de masse se base sur trois éléments optimal, la nutrition, l’entrainement et la récupération.

L’un ne va pas sans l’autre et le maintient de ces trois facteurs ne peut se faire sans une psychologie de travail rigoureuse et stratégique.

Beaucoup d’éléments de la vie courante sont à éviter voir à bannir si l’on veut réussir une prise de masse :

  • Les narcotiques
  • Le tabac
  • L’alcool
  • La routine sexuelle.

Lors de l’orgasme masculin une quantité de spermatozoïde va être éjectée. Cette quantité va par la suite être reproduite et pour cela le corps aura besoin de zinc.

Le zinc est un oligo-élément essentiel de notre organisme contenu en majorité dans les muscles. Il joue le rôle de catalyseur dans l’activité de très nombreuses enzymes tout particulièrement pour le sportif. Le zinc participe au métabolisme des glucides, lipides et à la synthèse des protéines. Donc une carence de zinc due à un excès dans la routine sexuelle conduit à une diminution de la capacité à l’effort.

D’autre part, le corps a un effet de relaxation après l’effort sexuel qui a un impact sur la force et pousse au sommeil.

Le sommeil est aussi un autre élément à prendre en considération. Le meilleur des programmes de prise de masse n’aura aucun effet si le sommeil est trop long ou trop court. En effet 7 a 8 heures de sommeil par nuit sont bénéfiques à la reconstruction musculaire.

Nutrition pour une prise de masse

Le premier facteur de réussite de prise de masse est la nutrition basée sur une alimentation saine. L’ajout de sucre et de sel est à bannir car les aliments en contiennent suffisamment.

Une alimentation riche et variée doit être de rigueur.

Un apport majoritaire de glucide est à privilégier. Ce composé organique est un intermédiaire biologique de stockage et de consommation d’énergie essentiel pour la prise de masse. En effet les glucides constituent le carburant de toutes activités musculaires et cérébrales de notre corps. Adapter un régime alimentaire fort en glucide provoque une saturation des réserves de glycogénes musculaires. Ce qui permet de s’entraîner plus dur et plus longtemps. Les aliments contenant des glucides sont les pommes de terre, les pâtes, le riz, le pain complet, les céréales et le maïs.

Une alimentation riche en protéine est aussi à prendre en considération car ces molécules sont un élément constructeur de notre organisme . En effet, les muscles sont fabriqués à partir d’acides aminés provenant des protéines alimentaires. Sélectionner ces acides dans notre alimentation permet d’optimiser une bonne prise de masse. Il faut donc privilégier les protéines provenant de source animale (oeuf,viande ou lait). Mais les protéines végétales peuvent être aussi recommandés (lentilles, fève, haricot rouge…)

Enfin les lipides, dernier maillon d’une alimentation propice à la prise de masse, sont présents dans le poisson, les laitages, la charcuterie, les pâtisseries et les fruits secs. Ils ont un rôle majeur dans l’organisme car ils stockent l’énergie et structurent les cellules.

Il est important de savoir qu’un gramme de glucide équivaut à 4 kcal, 1 gramme de protéine à 4 kcal et 1 gramme de lipide à 9 kcal.

La proportion de ces trois nutriments doit être calculé en fonction de notre métabolisme mais pour la prise de masse le plus judicieux est d’apporter à son alimentation beaucoup plus de glucide afin d’augmenter l’endurance du travail musculaire. Les protéines doivent être moins consommés que les glucides mais plus que les lipides.

Les repas qui peuvent s’échelonner de 4 a 6 fois par jour sont à repartir équitablement avant et après les entraînements. Deux à 3 litres d’eau sont à boire tout au long de la journée: surtout avant, et pendant les entraînements.

Il est important de varier les aliments tous les jours car manger tout le temps la même chose donne des envies et pousse à un surplus de calories.

Chaque individu détient une morphologie unique mais trois grands groupes se précisent chez l’homme. Les personnes ectomorphes qui sont grandes et mince brûlent donc rapidement les calories ce qui rend plus dure la prise de masse. Les personnes mésomorphe qui sont mince avec des os lourds et un torse large n’auront pas de difficultés à prendre de la masse. Et les personnes endomorphes qui sont de taille large et de masse osseuse importante devront favoriser une prise de masse sèche.

Voici un récapitulatif d’excédant calorique et de répartition de l’apport énergétique selon les morphologies.

MORPHOTYPE CALORIES RÉPARTITION APPORT CALORIQUE
Ectomorphe 3000 a 5000 kcal Protéines 20%

Glucides 55%

Lipides 25%

Mésomorphe 3000 a 5000kcal Protéines 25%

Glucides 55%

Lipides 20%

Endomorphe 3000 a 5000kcal Protéines 30%

Glucides 55%

Lipides 15%

 

A titre d’exemple voici un planning alimentaire de 3200 calories qui aide à la prise de masse. Le ratio d’apport en macro-nutriments est de 56% de glucides, 28% de protéines et 16% de lipides :

PETIT DEJEUNER 150 grammes de céréales250 millilitres de lait120 grammes de pain complet1 fruit4 œufs

3 tranches de charcuterie

1 thé ou café

COLLATION 80 grammes de pain250 gramme de fromage blanc100 grammes de fruits1 Shaker de Whey
DEJEUNER 100 grammes de crudités300 grammes de pâtes250 grammes de viandes blanche50 grammes de fromage
COLLATION 80 grammes de gain250 gramme de fromage blanc150 grammes de fruits1 shaker de Whey
DINNER 250 grammes de riz200 grammes de légumes verts300 grammes de poisson
COLLATION 40 grammes de protéines3 tranches de charcuterie50 grammes de fruits secs1 shaker de whey

 

Le nombre de calories doit être calculé toutes les semaines et sa valeur augmentée au fur et à mesure du programme pour éviter l’excès de prise de gras.

Une bonne alimentation réglée à fréquence régulière et pesée scrupuleusement permet au corps de puiser l’énergie nécessaire pour un entrainement progressif.

Différents programmes d’entrainement sont à examiner selon le niveau du sportif :

  • En effet un débutant devra passer sur des étapes de fixation du muscle et de cardio.
  • Une personne en surplus de poids devra avant tout brûler les mauvaises graisses et stabiliser son endurance.
  • Les pratiquants de body building intermédiaires et confirmés sont déjà au niveau propice de prise de masse.

Entrainement pour une prise de masse

Un programme d’entrainement de prise de masse vise à développer la force, l’épaisseur et le volume musculaire.

La première chose à faire avant les exercices est un petit échauffement cardio de 5 à 10 minutes.

Les types d’exercice font majoritairement travailler les grands groupes musculaires en sollicitant plusieurs articulations. Ces exercices appelés “de base” comme le Squat, le Développé Couché, le Développé Nuque, le Soulevé de Terre ainsi que le Curl à la Barre augmentent l’intensité de l’entrainement.

Ensuite il faut y ajouter quelques exercices d’isolation permettant de travailler avec insistance la capacité de contraction d’un seul muscle. Les exercices ont une base de séries à système pyramidal avec des charges moyennes puis lourdes, afin de sur stresser le muscle et donc augmenter sa capacité de développement.

Il faut toujours finir la dernière série avec une charge plus légère afin de saturer et congestionner le muscle. Il est essentiel de s’entrainer en duo car le partenaire peut aider à forcer les répétitions. La première série de chaque exercice doit toujours être longue et légère afin d’éviter tout risque de blessure.

L’entrainement ne doit pas être exclusivement musculaire un cardio spécifique est a ajouter pour une évolution rapide du poids du corps. Le temps de repos entre chaque exercice ne doit pas excéder 2 minutes.

A titre d’exemple voici un programme d’entrainement favorisant la prise de masse :

Jour 1

MUSCLES EXERCICES SÉRIES RÉPÉTITIONS REPOS
Pectoraux Développé couché 4 15-10-6-6 90 secondes
Développé incline avec haltères 3 6 2 minutes
Dips 2 Maximum 2 minutes
Butterfly 3 Degressives 2 minutes
Triceps Extension barre front 4 8 90 secondes
Extension corde poulie haute 4 Degressives 2 minutes

 

Jour 2

MUSCLES EXERCICES SÉRIES RÉPÉTITIONS REPOS
Cuisses Presse 3 15-10-6 90 secondes
Squat 4 8 2 minutes
Legs extension 4 10 2 minutes
Legs Curls 3 10 90 secondes
Mollets Presse debout 5 12 90 secondes
Abdominaux Crunchs 6 Maximum 30 secondes

 

(Jour 3 : repos)

 

Jour 4

MUSCLES EXERCICES SÉRIES RÉPÉTITIONS REPOS
Dos Tirage vertical devant 4 15-10-6-6 90 secondes
Tirage nuque 4 8 2 minutes
Soulevé de terre 2 10 2 minutes
Rowing assis 3 8 90 secondes
Biceps Curls barre EZ 3 10 90 secondes
Curls barre droite pronation 3 12 30 secondes
Curls alternés 1 Degressive

 

Jour 5

MUSCLES EXERCICES SÉRIES RÉPÉTITIONS REPOS
Épaules Développé haltères 3 10 90 secondes
Rowing menton 3 8 90 secondes
Élevation laterale 2 8 90 secondes
Oiseau 2 10 90 secondes
Trapèzes Shrugs 3 8 90 secondes
Abdominaux Chaise romaine 6 Maximum 30 secondes
Abdominaux Gainage (planche) 5 A l’échec 30 secondes

 

(Jour 6 et 7 : repos)

Ce type d’entrainement est bien évidemment une base adaptable car le métabolisme, le morphotype et la génétique de chacun diffère. Il ne faut donc pas hésiter à modifier certaines caractéristiques de ce programme d’entrainement.

 Compléments alimentaires pour la prise de masse


Comme décrit précédemment dans la partie nutrition, il est nécessaire de consommer lors des collations des compléments alimentaires.

En effet ils permettent de prolonger la période d’entrainement et d’augmenter la force . Ils préviennent la fatigue et le stress musculaire.

Différents types de compléments sont disponibles sur le marché comme les whey protéines. Elles sont extraites de la portion liquide des produits laitiers, elles sont d’excellente qualité et facile à digérer. Les acides aminés sont très adaptable au besoin du corps humain. Tout particulièrement pour les bodybuilder car la concentration en leucine et glutamime est très élevée, propice au développement musculaire. Elles sont aussi bénéfiques pour le système immunitaire grâce à un fort potentiel antioxydant.

La créatine est aussi une alternative de compléments alimentaires très favorisée par le milieu sportif car c’est une substance synthétisée naturellement par le foie, le pancréas et les reins. Elle se trouve aussi dans notre alimentation et est stocké principalement dans les muscles squelettiques appelé “créatine phosphate”. Le supplément de créatine augmente ses apports afin d’augmenter la force et le volume musculaire. Elle favorise aussi la perte de graisse.

Tout comme la créatine, la bêta-alumine est une substance présente dans nos muscles. Fabriqué à partir d’acide amine, ce supplément alimentaire améliore les performances musculaires. On peut donc s’entraîner plus dur plus longtemps. La B-A diminue les effets néfastes de l’acide lactique principal responsable de la fatigue musculaire.

Les omega-3 sont les compléments alimentaires prédominant sur le marché pour les sportifs. Ces acides gras qui se trouvent dans les graisses animales accélèrent la synthèse des protéines afin de gagner en masse musculaire.

Pour finir un compléments alimentaire produit à partir d’ingrédients (le lait, le mais ou le blé) naturels déshydrates; le gainer est un apport énergétique qui favorise la prise de masse .Il est riche en protéines et glucides.

Les compléments alimentaires existent sous forme de poudre à mélanger de préférence avec un jus de fruit afin de favoriser l’action de l’insuline et d’éviter un gout âcre lors d’un mélange avec de l’eau.

Sa consommation aide à la faim nocturne due à la régénération des cellules musculaires se qui évite donc de perturber son sommeil pour se préparer un repas.

Cure de stéroïdes anabolisant pour la prise de masse

L’efficacité des stéroïde anabolisant stéroïdes anabolisant pour réussir sa prise de masse n’est plus à prouver. Voyons ici une cure adaptée a tous qui vous permettra d’atteindre vos objectifs et même plus.

Une cure de 8 semaines idéale pour prendre beaucoup de masse avec l’incontournable stéroïde oral Dianabol:

CYCLE DIANABOL (8 semaines)

Prise Produit :
  • Prendre 5 Dianabol 10mg – 100 tabs Meditech par jour (280 Tabs)
  • Prendre 1 Anazole 1mg – 30 tabs Alpha-Pharma (Arimidex) tous les 2 jours (28 Tabs)
  • Prendre 3 Samarin 140mg – 100 tabs Berlin par jour (168 Tabs)

En raison de la demi-vie du stéroïde anabolisant Dianabol, les conseillers de UPSteroide.to préconisent de commencer votre relance le lendemain de votre dernière prise de Dianabol.

  • Pour la relance, prendre 1 Clomid 50mg par jour pendant 20 jours (20 Tabs)
  • Pour la relance, prendre 1 Nolvadex 20mg par jour pendant 20 jours (20 Tabs)
Semaine Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Semaine 1 50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
Semaine 2 50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
Semaine 3 50mg Dianabol 1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
Semaine 4 50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
Semaine 5 50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
Semaine 6 50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
Semaine 7 50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
Semaine 8 50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin
50mg Dianabol
1 Arimidex
3 Samarin
50mg Dianabol
3 Samarin

Thérapie de Fin de Cycle (PCT)

Semaine Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche
Semaine 9 1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
Semaine 10 1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
Semaine 11 1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex
1 Clomid
1 Nolvadex

Voir les packs de prise de masse

Conclusion

La prise de masse requière une grande aptitude mentale. Il faut s’auto-discipliner quotidiennement sur une période plus ou moins longue. C’est un processus progressif qui demande une attention du détail de l’alimentation et de l’entrainement.

C’est une sorte de sacrifice permanent qui enrichit la persévérance et la confiance en soi. Gagner en force et en puissance aide à se surpasser et à dépasser ses limites.

Il faut être à l’écoute de son corps et s’autoriser des journées de repos bien mérité. Respecter les programmes alimentaires et d’entrainement scrupuleusement.

La prise de masse est une étape cruciale pour tout bodybuilder, et qui reste unique en son genre.

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Pourquoi les Stéroïdes anabolisants ne sont-ils pas à utiliser avant 21 ans ?

Loin des préjugés sur la gonflette ou d’une pratique de « frimeurs », la culture du muscle représente avant tout un art de vivre.

Le développement de sa musculature va donc demander dans un premier temps, un apprentissage afin d’acquérir des bases qui consolideront le futur.

Ensuite, une hygiène de vie particulière permettra d’atteindre ses objectifs et de pérenniser ses acquis.

Enfin, le dépassement de ses limites doit arriver à une période de maturité musculaire bien pensée et encadrée.

Alors, attention à certains ne cherchant que le résultat sans se soucier du chemin !

Pourquoi vouloir prendre des stéroïdes avant 21 ans ?

Tu as entre 14 et 21 ans. Période de l’adolescence où nous glissons de l’enfance vers l’âge adulte. Un moment clé où nous nous cherchons et souhaitons plus que jamais, révéler notre personnalité et notre authenticité.

Se démarquer pour mieux se faire remarquer.

Dans cette recherche de soi et d’affirmation, de plus en plus de garçons se tournent vers la musculation. Discipline honorable, la musculation va te permettre de partir à la découverte de ton corps et de son fonctionnement.

Évidemment, tes entraînements doivent suivre un programme adapté à ton âge. Ces entraînements sont d’ailleurs progressifs, afin de développer les bases durables de ta musculature et éviter les accidents musculaires.  

Les premiers six mois, tu seras extrêmement motivé, puisque ton corps va changer assez rapidement. Les premiers muscles vont apparaître et se façonner peu à peu. Cependant, ta motivation risque de s’estomper par la suite, puisque les résultats seront présents, mais moins spectaculaires. Tu auras l’impression de stagner alors qu’à l’intérieur, ton processus de développement musculaire se poursuivra.

À ce moment-là, beaucoup de jeunes dans ton cas n’auront tout simplement pas la patience de fournir un effort régulier pour un résultat sur le long terme. Ils voudront ressembler à leurs grands frères de la musculation, qui eux ont déjà 10 ou 15 ans d’entraînements.

C’est à partir de là, qu’ils vont vouloir avoir recourt aux stéroïdes, afin de parvenir à un développement musculaire spectaculaire, en un temps record.

Bien souvent, ces jeunes ne se soucient que du résultat. Vouloir montrer ses muscles à tout prix à ses copains, aux filles et à publier leurs photos et vidéos musclés, sur les réseaux sociaux.   « Paraître, plutôt qu’être ».

En ne s’attachant qu’aux résultats, ces jeunes ne prennent pas le temps, ou ne veulent pas prendre le temps, de se documenter sur les stéroïdes et leurs effets. Ils prétendent les connaître et les assumer. Vraiment ? Car la prise de stéroïdes avant 21 ans peut entrainer de graves conséquences sur l’organisme, bien souvent irréversibles.

L’effet des stéroïdes anabolisants sur un jeune organisme :

La pratique de la musculation, et encore plus, l’utilisation de stéroïdes, demandent une bonne connaissance du fonctionnement de son corps. Ainsi, nous comprendrons mieux leurs impacts négatifs sur un jeune organisme.

 L’importance de connaître son corps à l’adolescence :

L’adolescence représente une période délicate, de transformation du corps. Cette période de changement s’accompagne d’une augmentation de la production d’hormone de croissance présente naturellement dans le corps et de testostérone. Cette production hormonale accrue a pour objectif d’aider ton corps dans son développement musculaire, osseux, cérébral et sexuel, afin d’accomplir son passage vers l’âge adulte.

Si tu te risques à entreprendre une cure de stéroïdes, en cette période de profonds changements, tu vas modifier le processus naturel de ta croissance et t’exposer à des risques irréversibles sur tout ton être, aussi bien physiquement que psychologiquement.

 Les risques :

Rappelons que les stéroïdes représentent  des dérivés synthétiques de la testostérone. En réalisant une cure de stéroïdes, tu vas bloquer pendant la cure la production de ta testostérone naturelle. Et pour quel résultat ? Pour t’injecter une quantité de testostérone synthétique similaire à la quantité produite à l’adolescence par la testostérone naturelle. Donc tu ne trouveras aucun bénéfice en plus, mais par contre les effets secondaires vont se révéler de façon plus violente sur un jeune organisme que sur un corps adulte ayant atteint son développement hormonal.

Étant en pleine transition, ton corps n’a pas encore atteint son équilibre hormonal adulte. Par contre, c’est à cette période, précisément qu’il va déterminer ton taux de production de testostérone à l’âge adulte. En bloquant ta production naturelle de testostérone à ce moment charnier, tu risques fortement d’influencer négativement la production de ta testostérone future. Ton taux de production d’hormone de croissance va aussi être modifié. Cette dernière est pourtant essentielle pour la croissance des os et pour le développement de nouvelles cellules. Ces dysfonctionnements hormonaux vont mettre ta santé en danger et les risques peuvent toucher plusieurs parties de ton corps.

Les risques aux niveaux des os : la prise de stéroïdes va tout simplement stopper la croissance naturelle de tes os dits longs. Tu vas donc arrêter de grandir.

Les risques au niveau du foie : la prise de stéroïdes oraux a une grande incidence sur la capacité de régénérescence du foie. Des tumeurs peuvent apparaître ainsi que des kystes de sang, pouvant provoquer une hémorragie interne.  

Les risques cardio-vasculaires : la prise de stéroïdes peut provoquer une hypertrophie du ventricule gauche, servant normalement à l’oxygénation des organes. La perturbation de la circulation sanguine va alors endommager le cœur, jusqu’à provoquer une crise cardiaque. De plus, des caillots de sang sont susceptibles de se former dans les vaisseaux sanguins pouvant conduire à des accidents vasculaires cérébraux (AVC)    

Les risques pour la peau : pendant la cure de stéroïdes, la peau  devient plus grasse, ainsi que les cheveux. Souvent, l’acné s’accentue et des boutons apparaissent dans le dos, sur les épaules et les bras, laissant des cicatrices à long terme.  

Les risques sur le système reproductif : la perturbation de la production naturelle d’hormones va provoquer une diminution de la production de sperme ainsi qu’une atrophie testiculaire. Certains jeunes sont même devenus stériles suite à des cures de stéroïdes.

Les risques psychologiques : La testostérone booste l’énergie. Pendant une cure de stéroïdes, la production naturelle de testostérone se trouve stoppée. À la fin de la cure, l’utilisateur se retrouve alors sans testostérone pendant un laps de temps. Ce manque de testostérone va avoir des conséquences sur le moral. Plus de testostérone, plus d’énergie et plus d’envies. Risque de basculer vers la dépression, voir la bipolarité. Sous stéroïdes, certains jeunes développent aussi une agressivité exacerbée.    

Les risques d’addictions : les études ont révélé que les jeunes utilisateurs de stéroïdes ne s’arrêtaient jamais à une cure unique. Ils tombaient dans une spirale du toujours plus, toujours plus longtemps.

Les risques d’infections : Certains par ignorance s’injectent les stéroïdes sans respecter la moindre mesure d’hygiène ni de stérilisation. Parfois, ils vont même jusqu’à se partager les aiguilles entre eux. De plus, une méconnaissance des produits peut les entrainer à prendre de faux produits ou des produits fabriqués sans condition d’hygiènes. Tous ces facteurs sont prolifiques pour l’apparition de diverses infections, à l’endroit de l’injection.  

Les effets secondaires des stéroïdes sont accentués chez les jeunes utilisateurs.

Nos recommandations de professionnels :

Au lieu de chercher des muscles saillants rapidement avec la prise de stéroïdes, prends plutôt le temps de te construire une base musculaire. Mérite ton futur corps en respectant tes séances d’entraînement et les temps de récupération.  Apporte une vigilance particulière aussi à ta nutrition qui est une part importante dans la construction du muscle. Et sort de cet état du paraître pour adopter cette nouvelle hygiène de vie que t’offre le monde de la musculation où rigueur, persévérance et détermination sont de mises.   Le dépassement de tes limites arrivera  à un moment de maturité musculaire.

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30 Kilos de Muscle à la Testostérone / Trenbolone

“celui qui vous dira que ce n’est pas nécessaire, se fout de votre gueule !”

“C’est des produits anabolisants qui me servent à ma préparation physique, afin de pouvoir améliorer mes performances, tout simplement. (…) Ca fait trois, donc j’ai commencé à prendre le coup.” En l’espace de trois ans, cet homme a tout de même pris 30 kilos de muscles “grâce” à ces produits dopants. D’ailleurs selon lui, si on veut avoir de réels résultats, les stéroïdes anabolisants sont un passage obligé. “Naturellement on est assez limité si on souhaite faire des compétitions. Après si on veut avoir une perspective de grande carrière là-dedans, on n’a pas le choix d’avoir recours aux produits anabolisants. Je pense que celui qui vous dira que ce n’est pas nécessaire, il se fout de votre gueule !”

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Lumière sur les boosters sexuels dans l’industrie du porno

Que vous les regardiez seul, en cachette ou en compagnie de votre dulcinée pour pimenter vos futurs ebats, les films pornographques nous fascinent en même temps qu’ils nous émoustillent. Et pour cause, nous voyons de véritables étalons, arborer des érections dures pendant plusieurs heures. Comment arrivent-ils à de telles prouesses ? De plus, malgré des séquences ultras torrides, ces véritables étalons arrivent encore à se contrôler et à repousser le moment de leur éjaculation. Nous sommes bien loin de nos 5 voire 15 minutes  de performance habituelle !

Alors, les stars du porno sont-elles de véritables « bêtes de sexe », doté d’une puissance sexuelle hors normes, ou bien auraient-elles leur secret bien gardé ? 

Les stimulants sexuels dans le porno

Les acteurs des films X ne sont pourtant pas des surhommes, avec des prédispositions exceptionnelles.  Ils ont un physique plutôt agréable, mais pour leurs prouesses sexuelles, ces beaux étalons ont souvent recours à des stimulants sexuels.

Effectivement, imaginez le lieu de tournage, souvent froid puisqu’il est impossible de brancher les radiateurs à cause du bruit, sans musique (pour ne pas payer de droit d’auteur dessus), et être opérationnel dès que le réalisateur dit « Allez ! ». Nous sommes loin de nos scènes torrides qui nous stimulent en bas du ventre !

 

Alors pour être sûr d’avoir une érection, qui dure au moins 1, 2 voir trois heures, les acteurs vont bien souvent  avoir recours à des stimulants leur permettant d’obtenir de fortes érections de plusieurs heures.

 

Les compléments alimentaires dans le porno

Parmi les stimulants multiples, nous trouvons dans un premier temps les compléments alimentaires  faits à base de plantes aphrodisiaques comme le ginseng, le bois bandé ou le gingembre, de vitamines comme la vitamine C, B5, ou encore  B12 pour la femme notamment,  d’oligo-éléments comme le magnésium qui permet de diminuer le stress et la  fatigue et le zinc, un des composants principaux du sperme.

Se présentant sous forme de comprimés, de gélules ou de solutions buvables, les compléments alimentaires se regroupent en deux ensembles :

  • Les stimulants sexuels qui vont réveiller votre libido : ces stimulants aident avant tout à lutter contre la fatigue et le stress, afin de retrouver la forme et le désir sexuel.
  • Les stimulants boostant vos performances sexuelles : nous ne sommes plus dans le réveil du désir comme pour ceux cités plus haut, mais bien dans ce cas précis, d’augmenter les performances sexuelles. Ces stimulants visent à vous rendre plus endurant, à obtenir une érection de qualité et prolongée.

Ces compléments alimentaires apportent de façon naturelle, un petit coup de pouce à notre libido, mais n’assurent en rien la garantie automatique d’érections longues. Ils stimulent avant tout notre désir et notre libido afin de les mettre dans les meilleures conditions possibles.

La testosterone dans le porno

Alors pour être sûr, que le réalisateur ne se soit pas trompé sur le choix de l’acteur, qu’il n’est pas dépensé de l’argent en maquillage et location de lieux, pour une érection qui tarde à venir, les acteurs de l’industrie du porno, ont recours  à une méthode beaucoup plus radicale : les injections de testostérone.

Eh oui, quoi de mieux pour s’assurer une érection des plus robuste et durable qu’un ajout de testostérone ?

Avec des injections de testostérones, les acteurs sont sûrs de développer leur virilité avec un développement de leur masse musculaire, profil très recherché dans le monde du porno puisqu’il représente la force, la puissance et la domination.

De plus, l’ajout de testostérone va améliorer la résistance sexuelle et augmenter le volume de sperme. Cette dernière notion est très importante pour le réalisateur qui aime filmer une éjaculation généreuse, d’un blanc immaculé, symbole d’une pleine jouissance.

Un apport de testostérone renforce donc votre confiance sexuelle et vous aide à prévenir les éjaculations prématurées. Aucun acteur du porno ne se laisse surprendre par son plaisir trop intense. Il doit toujours garder le contrôle de son membre. Ce taux élevé de testostérone dans le corps va donc favoriser les orgasmes multiples, sans perdre d’érection.

Nous comprenons maintenant mieux, comment les étalons du porno assurent  si longtemps, sans ressentir la moindre fatigue.

Cependant, il y a un petit souci avec l’ajout de testostérone, c’est qu’elle ne peut pas être utilisée sur le long terme. De plus, lorsque nous injections de la testostérone de synthèse, le corps va, par mesure de sécurité, bloquer la production naturelle de testostérone. Une fois la cure de testostérone de synthèse terminée, le corps se retrouve sans testostérone dans le corps et il est donc indispensable, à ce moment-là, de pratiquer une relance pour stimuler la production naturelle de testostérone. Ce temps de retour à un taux normal de production de testostérone naturelle peut être assez long, accompagné de  problèmes d’érection. Ce moment représenterait un moment d’inactivité pour l’acteur de porno. Donc il doit trouver un autre complément, tout aussi performant, mais en limitant les effets néfastes pour la santé. Il doit alors  se tourner vers la dernière génération de compléments sportifs : les peptides.

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Le dopage dans le sport de combat

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Hgh, hCG, Anavar,Winstrol… et MMA

Hgh, hCG, Anavar,Winstrol… tous ces noms deviennent de plus en plus connus dans le monde du sport de combat. Il est même devenu très facile de les associer à tout type de sport demandant des efforts extrêmes ou alors une augmentation musculaire conséquente. S’il n’est plus rare d’en parler, c’est tout simplement parce que les législations de pays en pays sont différentes en ce qui concerne la désignation du dopage dans ce style de sport. Évidemment, dans ce cas nous parlerons de l’UFC. Les autres sports de combat étant encore très surveillés et la tolérance par rapport à la prise de substances n’y est pas encore admise.
Il est évident que si l’on parle de sport de combat on parle en même temps de sport de force et d’endurance. Il est alors plus que nécessaire pour tous les sportifs ayant choisi de s’accomplir dans ce style de sport, de s’armer de façon adéquate, de sorte à gagner en masse, en poids, en endurance et même en vitesse de cicatrisation en cas de blessures graves. Il est donc nécessaire de trouver la meilleure formule pour pouvoir se transformer en enclume et en bouclier en même temps. La nature donne beaucoup de choses mais lui donner un petit coup de pouce peut aujourd’hui faire une très grande différence. Les injections de testostérone ou encore d’hgh rentrent en jeu dans ce but.

L’effet recherché des stéroïdes

Un adepte de sport de combat appelé aussi MMA sait pertinemment qu’il va devoir passer par des heures interminables d’entraînements. Lors de ceux-ci, quels que soient les techniques de combat qu’il apprendra, il devra faire face à chaque fois aux limites de son corps. C’est à partir de ce moment-là, qu’il lui sera important de trouver un palliatif pour augmenter sa taille musculaire et son endurance grâce à l’hgh par exemple, ou sa force grâce à l’Anavar entre autres. Il y aura aussi d’autres points à améliorer comme la rétention d’eau et la souplesse musculaire ainsi que le souffle. Toutes les performances et les améliorations du corps du sportif peuvent être améliorées par l’injection de testostérone ainsi que d’autres produits dopants.

Il existe un grand nombre de produits qu’il est possible de trouver à l’achat assez aisément aujourd’hui pour améliorer des points ciblés. Il suffit de bien les connaître et de trouver les bons dosages pour arriver aux meilleures performances. Comme par exemple la Somatropin, dotée de pouvoirs à donner de la masse musculaire et à faire fondre l’excès de graisse assez aisément.

Le Clenbutérol est un anabolisant que les sportifs de sport de combat utilisent en remplacement des anabolisants hormonaux. C’est un excellent brûleur de graisse.

Le Winstrol est un stéroïde anabolisant synthétisé qui est aussi un dérivé de la DHT. Il doit sa réputation à l’athlète Ben Johnson qui fut contrôlé positif par la prise de ce stéroïde. Ce stéroïde possède aussi les mêmes propriétés de l’augmentation de la masse musculaire mais aussi celle d’améliorer les globules du sang et ainsi l’oxygénation. Il arrive souvent que l’on utilise le Winstrol sur les animaux, comme les chevaux par exemple. Le fait qu’il ne provoque pas de rétention d’eau fait que la masse musculaire gagnée soit réelle et durable.

L’Anavar quant à lui est un stéroïde qu’il est fortement recommandé d’associer avec du Winstrol ou du Trenbolone. Ce produit est beaucoup plus bénéfique lorsqu’il est utilisé en association.

Le dosage des différents stéroïdes pour le sport de combat

Il est très intéressant de connaître les bons dosages des stéroïdes ainsi que des anabolisants pour transformer au mieux son corps en vue de lui apporter les éléments afin qu’ils puissent donner les meilleures performances possibles.
L’Anavar est préconisé entre 50 mg et 100 mg par jour pour les pugilistes. Il faut cependant noter que c’est un produit mixte qu’il faut associer avec du Winstrol et/ou de la Trenbolone. 6 à 8 semaines d’injections est une des meilleures durée pour obtenir de bons résultats,

Le Trenbolone associé à une hormone de croissance est certainement le meilleur produit reconnu sur le marché pour ce qui est de la performance. 100 mg tous les 2 jours pendant 8 à 12 semaines. Il est possible d’augmenter la dose à 200 mg tous les 2 jours pour une période de huit semaines. Pour un cycle avancé comme pour les compétitions par exemple, il est recommandé de démarrer à 100 mg tous les deux jours.

Le Winstrol, une dose de 50 mg tous les jours pendant une période de 6 à 8 semaines et le nécessaire pour absorber les meilleures performances de ce produit. Il est recommandé de ne pas aller au-delà car il présente une certaine toxicité sur le foie et de l’utiliser avec les bonnes protections.

Propionate de Testostérone à 50 mg tous les jours pendant une période de six semaines pour améliorer les performances des athlètes. Pour un véritable effet anabolisant, les taux se situent dans les 100 mg par jour voir même 150 mg. Il faudra tenir compte des effets secondaires néfastes à éviter.
Fluoximesterone, fortement androgène, est principalement utilisé pour gagner de la force rapidement. 20 mg à 30 mg par jour pendant 4 à 8 semaines sans dépasser cette limite. C’est un produit à prendre avec précaution.
L’Epo qui, via une augmentation des hématocrites apportera une endurance accrue.
– L’Ephédrine qui de par son effet stimulant, apportera une agressivité et un niveau de sèche incroyable. Le stack « ECA » (ephedrine, cafeine, aspirine) est très prisé dans le milieu

 

Conclusion

Le sport de combat est un sport réclamant force et endurance. Il faut pour cela combiner les entraînements mais aussi connaitre les meilleurs éléments pour gagner en masse et en force. Il faut savoir combiner entre les produits fortement androgènes et ceux apportant une amélioration musculaire appropriée. Les dosages doivent être étudiés pour chaque sportif en fonction des objectifs à atteindre. Les conseils de cure sont alors particulièrement recommandés pour répondre à un besoin spécifique et personnalisé. Si vous êtes passionnés  et adeptes des sports de combats, partagez avec nous, ci dessous, vos expériences avec les produits que vous avez déjà utilisés ou encore posez nous vos questions!

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