Il est certain que pendant des années, le body-building a été un sport réservé à la gente masculine. Que ce soit Arnold Schwarzenegger, Lou Ferrigno ou encore Sylvester Stallone, le cinéma a contribué pendant des années à ne donner aucune place à la femme dans le monde du culturisme. Il faudra attendre les années 70 pour commencer à voir les premières exhibitions de bodybuildeuses. La doyenne étant Ernestine Shepherd.
Cependant, le corps d’une femme n’étant pas celui d’un homme, la recherche esthétique du corps dans le body-building féminin connaît plusieurs styles et en particulier un intérêt à la perte de poids.
Si au début, les femmes ont essayé d’imiter les hommes en faisant des programmes de prise de masse musculaire et en faisant des exhibitions en parallèle. Aujourd’hui, elles ont plutôt tendance à faire des exhibitions IFBB bikini de façon professionnelle. Leur rapport avec la musculation tend à être beaucoup plus esthétiquement féminin.
Perte de poids ou programme de prise de masse ?
Les adeptes de Bodyfitness et d’IFBB bikini sont loin de ressembler aux premières bodybuildeuses. Que ce soit par les substances comme les Clenbuterol, Reductil ou Anavar, elles auraient plutôt tendance aujourd’hui à rechercher à perdre le maximum de graisse d’une façon très rapide jusqu’à même être totalement sèche pour bénéficier de l’apparence d’un corps type du modèle IFBB bikini d’aujourd’hui.
Même si dans le Bodyfitness, il existe encore beaucoup de femmes qui recherchent un développement volumique de leurs bras du style old school du body-building des dernières décennies, la mode de l’ifbb bikini réclame plutôt des jambes et des fesses voluptueuses et bien musclées avec un ventre très plat ainsi que des bras bien musclés mais sans trop de volume.
C’est une recherche plastique qui varie entre le bas du corps d’une bodybuildeuse et le haut d’une athlète en gymnastique. Il va sans dire qu’il y a donc pour ces femmes un intérêt bien précis à la recherche de la perte de poids aussi.
Les femmes et le dopage
Plusieurs scandales relatifs aux femmes et au dopage ont éclatés ces 20 dernières années concernant les sportives. Il y a encore beaucoup de personnes qui sont persuadées qu’il n’est pas si aisé de reconnaître une personne prenant des produits dopants ou pas. Pourtant, il suffit de jeter un petit coup d’œil sur le tracé des muscles, des bras et des jambes, un ventre aux dessins musculaires trop similaire à une musculature abdominale masculine, même après des heures de pratique de musculation. L’élargissement du cou et parfois la maturation d’une voix devenant masculine sont aussi des indices.
Des cas comme celui de l’Américaine Marion Jones, où la nageuse brésilienne Rebeca Gusmao pour les plus récentes ainsi que d’autres comme Griffith Joyner ou Barbara Krause sont toutes des athlètes qui ont été contrôlées positivement aux produits dopants. Les améliorations corporelles plus qu’évidentes alors à l’époque, ne trompent plus personne aujourd’hui.
Le volume musculaire avec des veines apparentes, les performances, tout ceci fait partie du panel de tous les sportifs extrêmes d’aujourd’hui. Même si leurs résultats peuvent être jugés comme de la triche, il va sans dire qu’il y a bien un fait flagrant de l’efficacité de ces produits sur les performances athlétiques ainsi que sur l’amélioration musculaire du corps. Il paraît donc évident que pour lesadeptes du culturisme et du IFBB bikini qu’il leur soit plus que nécessaire de se faire des injections de différents produits dopants et de quelques hormones pour bénéficier des mêmes résultats pour gagner en esthétique corporelle.
IFBB – Bikini Fitness
La fédération internationale de body-building et de fitness possède son propre site Internet, www ifbb.com où il est possible de trouver tous les renseignements concernant les tournois internationaux ainsi que les normes et les codes à respecter. On y trouve aussi des centaines de vidéos donnant de multiples indications et conseils pour les adeptes du bikini fitness. Que ce soit pour la perte de poids ou la prise de masse, on n’y trouve que des conseils pour différentes recettes diététiques ou pour soulever de la fonte.
Il faut aller sur d’autres sites Web spécialisés dans la vente de produits dopants pour connaître ce qu’il est profitable d’utiliser pour sculpter son corps.
Il faut autant savoir jongler avec des produits comme le Winstrol, Clenbuterol et Anavar entre autres pour la perte rapide de la graisse féminine, que de connaître l’intérêt d’un produit comme la Sibutramine (Réductil) comme coupe-faim. L’une des difficultés premières étant de se restreindre de manger et de lutter contre la faim. Les périodes les plus critiques étant toujours quelques jours avant les coupes ou les tournois.
Le culte du beau corps, le bikini fitness
Au vu des compétitions d’aujourd’hui, les femmes n’ont plus à envier les hommes pour ce qui est des tournois de body-building ou de IFBB. Dans le monde entier, cette mode contenant une variante du body-building et du sex fitness draine beaucoup d’adeptes à s’y essayer.
Le culte du corps en le sculptant sur un modèle bien précis de l’esthétique en vogue fait que, la demande de la prise de stéroïdes ainsi que leurs améliorations n’en est peut-être qu’à ses débuts. Il reste à espérer à trouver la pilule magique offrant les améliorations souhaitées sans trop d’effets secondaires.
L’IFBB restant dans le domaine de l’exhibition, même s’il y a compétition au niveau du corps des culturistes, on peut dire aussi qu’il y a compétition au niveau des laboratoires dont chacun propose sa propre molécule d’hormone. Le renseignement et la véracité des produits resteront une nécessité pour que ce sport puisse perdurer.
Conclusion
La revanche des femmes pour ce qui est du body building n’en est qu’à ces débuts. Le bikini fitness est certainement une mode qui durera encore assez longtemps. La diversité des concours et des styles va certainement redorer le blason à la gente féminine en ce qui concerne l’évolution de l’exhibition des corps musclés et galbés à souhait. L’avenir est ouvert aux audacieuses qui veulent trouver des cures qui leur offriront un beau corps musclé et qui reste sexy.
Nous vous proposons aujourd’hui d’en apprendre plus sur les propriétés médicinales majeures du tribulus terrestris dans la médecine traditionnelle et sportive.
Le tribulus comme testostérone naturelle
Le tribulus est une plante reconnue pour donner de l’énergie et améliorer la libido. Longtemps utilisé dans la médecine ayurvédique et chinoise comme complément pour augmenter la force physique et l’endurance. Il s’avère être aussi un aphrodisiaque puissant en régulant la production de testostérone. C’est pour cela qu’il est très apprécié dans le monde du body-building pour ce qui est de l’augmentation de la masse musculaire et de l’endurance. Une des propriétés positives du tribulus, et de ne laisser aucun déchet ni toxines dans le corps après son ingestion. C’est donc pour cela qu’on le nomme « testostérone naturelle ».
Le tribulus comme anabolisant naturel
Le tribulus a longtemps été utilisé par les athlètes de l’Est pour améliorer leurs performances sportives. Étant riche en flavonoïdes, saponines est en stéroïde, il a été recommandé grâce à ses multiples propriétés pour les sports d’endurance ainsi que la musculation. Il est particulièrement apprécié pour ce qui est de l’amélioration de la synthèse protéique et de l’endurance, mais surtout, pour ce qui est de la récupération après l’effort, en ce qui concerne les athlètes. Par son action sur la testostérone, il permet l’amélioration de la force des muscles tout en augmentant la capacité volumique de ceux-ci.
Le tribulus et la libido
Avec une bonne association avec d’autres produits, comme la maca, le ginseng ou la rhodiola, le tribulus s’avère être un excellent aphrodisiaque pour la libido de l’homme et de la femme. Il régule la production de testostérone et diminue les troubles de l’érection. Il possède une particularité à augmenter la fertilité chez l’homme en augmentant la production de spermatozoïdes. Pour ce qui est de la femme, elle augmente la concentration des hormones favorisant ainsi l’ovulation et la libido de celle-ci.
La plante nettoyant en profondeur le corps, ceci permet l’optimisation de la libido en supprimant certains effets néfastes de quelques toxines des appareils reproducteurs. Il en résulte une vitalité sexuelle comme il est rare d’en espérer avec d’autres aphrodisiaques.
Le tribulus et la musculation
Une des propriétés du tribulus est d’augmenter de façon très efficace et rapide la masse musculaire. Il possède toutes les propriétés des meilleurs stéroïdes anabolisants tout en étant un produit naturel avec, aucun effet secondaire reconnu. En prenant quelques remèdes pour diminuer les œstrogènes dans le sang, il vous est possible donc d’espérer le meilleur effet possible pour un gain de masse musculaire avec une cure de deux à trois semaines de tribulus. Il est donc très important pour ceux qui veulent gagner assez rapidement du muscle de ne pas écarter la possibilité de faire une cure de tribulus pour gagner en endurance et en force physique, afin de mettre toutes leurs chances de leur côté pour arriver à leurs fins.
Une étude sur le tribulus
Ce n’est qu’après avoir fait une étude poussée dans les années 80 sur les athlètes bulgares qu’il a été émis plusieurs hypothèses sur les qualités réelles du tribulus. Ils n’ont jamais été contrôlés positivement une seule fois après chaque contrôle antidopage. En fait, les études d’Europe de l’Est et d’Orient stipulent bien que le tribulus stimule favorablement la production naturelle de testostérone. En revanche, les études venant des pays occidentaux, révèlent le contraire. Scientifiquement parlant, il n’est pas vraiment possible de trancher favorablement ou défavorablement envers ce produit. Cependant, beaucoup de personnes pratiquant le body-building et d’autres sports ne jurent que par lui. Il est donc nécessaire de se fier aussi aux expériences directes des sportifs qui le consomment. Il est encore impossible de parler, pour ce qui est des côtés négatifs du tribulus, ou de son inaction, de détracteurs, ou d’une simple guerre entre laboratoires.
Le tribulus et les stéroïdes
Il est important d’affirmer que le tribulus ne fait en aucun cas partie des stéroïdes. Et c’est certainement bien cela sa première particularité. Il est souvent nommé comme tel du fait qu’il contienne des saponines. Certaines peuvent être stéroïdiennes, d’autres non. C’est le cas du tribulus. Sa particularité reste d’agir comme une pro hormone efficace en premier, contre la stérilité et donc favorisant la fertilité en augmentant la production de testostérone. En second cas, ses multiples propriétés médicinales positives, comme, l’augmentation de la force physique et la récupération après celui-ci en font un des meilleurs compléments pour le gain énergétique.
Update Janvier 2018 : Vous pouvez maintenant vous procurer des compléments alimentaires (dont le Tribulus) dans notre rubrique des suppléments.
Comprendre fonctionnement et importance du foie dans la santé . Tout savoir sur comment préserver son foie et quels produits sont nécessaires à un foie sain.
Introduction
Dans le quadrant supérieur droit de la cavité abdominale, il y a une grande masse rouge qui ne bat pas, ne bouge pas beaucoup et qui ressemble à de la gelée : c’est le foie.
Cet organe est si important que nous ne pourrions survivre plus d’un ou deux jours s’il s’arrêtait d’un coup. Heureusement, il a la possibilité de se reconstruire et de se régénérer. Jusqu’à deux tiers du foie peuvent être enlevés et ce qui en reste va reprendre une grosseur normale en quelques mois, ceci grâce à son incroyable capacité de créer un nouveau tissu hépatique à partir des cellules saines qui subsistent.
Le foie aide à métaboliser les graisses. Il produit la bile, qui décompose la graisse tout en travaillant également comme un filtre pour nettoyer les toxines de notre sang, et nous aider à se sentir excité. L’optimisation de la santé de votre foie peut vous aider à perdre du poids et à atteindre vos objectifs sportifs.
Les fonctions essentielles du foie
Emmagasiner des vitamines, du sucre et du fer pour aider à donner de l’énergie à votre corps.
Contrôler la production et l’élimination du cholestérol.
Eliminer les déchets, les médicaments et d’autres substances toxiques du sang.
Produire des facteurs de coagulation pour arrêter un saignement excessif après des coupures ou des blessures.
Produire des facteurs immunitaires et éliminer les bactéries dans la circulation sanguine pour combattre l’infection.
Libérer une substance appelée “bile” pour aider à la digestion des aliments et pour absorber les éléments nutritifs importants.
Les fonctions métaboliques du foie
Les hépatocytes sont des super-travailleurs métaboliques dans le corps. Ils jouent un rôle critique dans la synthèse de molécules qui sont utilisées pour soutenir l’homéostasie, lors de la conversion des molécules d’un type à l’autre, et dans la régulation du bilan énergétique.
Les principales fonctions métaboliques du foie peuvent être résumées en quelques grandes catégories :
Le métabolisme des glucides
Il est essentiel de maintenir les concentrations de glucose dans le sang à un niveau étroit, normal. Le maintien des niveaux de glycémie à la normale durant les périodes courtes (les heures) et les périodes longues (les jours ou les semaines) est une fonction particulièrement importante du foie. Les Hépatocytes abritent de nombreuses voies métaboliques différentes et utilisent des dizaines d’enzymes qui sont alternativement activés ou désactivés selon que les niveaux sanguins de glucose sont à la hausse ou à la baisse sur la plage normale.
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Métabolisme des graisses
Très peu d’aspects du métabolisme des lipides sont uniques au foie, mais la plupart sont réalisées principalement par le foie.Les principaux exemples du rôle du foie dans le métabolisme des graisses comprennent:
Le foie est extrêmement actif dans l’oxydation des triglycérides pour produire de l’énergie. Le foie décompose de nombreux acides gras, plus que les hépatocytes n’en ont besoin, et exporte de grandes quantités d’acétoacétate dans le sang où ils peuvent être récupérés et facilement métabolisés par d’autres tissus.
Une grande partie des lipoprotéines est synthétisée dans le foie.
Le foie est le principal site pour convertir les glucides et les protéines excessifs en acides gras et en triglycérides, qui sont ensuite exportés et stockés dans le tissu adipeux.
Le foie synthétise de grandes quantités de cholestérol et des phospholipides. Certains sont emballées de lipoprotéines et mis à la disposition du reste du corps. Le reste est excrété dans la bile en tant que cholestérol ou en acides biliaires.
Le foie joue un rôle central dans tous les processus métaboliques du corps.
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Dans le métabolisme des graisses, les cellules du foie décomposent les graisses et produisent de l’énergie. Elles produisent aussi environ 800 à 1000 ml de bile par jour. Ce liquide vert-jaune, brun ou olive est recueilli dans de petits canaux et ensuite transmis à la voie biliaire principale, qui porte la bile à une partie de l’intestin grêle appelée le duodénum. La bile est importante pour la répartition et l’absorption des graisses.
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Métabolisme des hydrates de carbone
Le foie aide à assurer que le niveau de sucre dans le sang (glycémie) reste constant. Si votre taux de sucre dans le sang augmente, par exemple après un repas, le foie élimine le sucre du sang et le stocke sous forme de glycogène. Si les niveaux de sucre dans le sang de quelqu’un sont trop faibles, le foie décompose le glycogène et libère du sucre dans le sang. Ainsi que le sucre, le foie stocke également des vitamines et des minéraux (fer et cuivre), et les libère dans le sang en cas de besoin.
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Métabolisme des protéines
Le foie joue également un rôle important dans le métabolisme des protéines: des cellules du foie changent les acides aminés dans les aliments, de sorte qu’ils puissent être utilisés pour produire de l’énergie, ou pour faire des glucides ou des graisses. Une substance toxique, appelée l’ammoniaque, est un sous-produit de ce processus. Les cellules hépatiques convertissent l’ammoniaque en une substance beaucoup moins toxique appelé l’urée, qui est libérée dans le sang. L’urée est ensuite transportée vers les reins et sort du corps en forme d’urine.
Les fonctions hormonales du foie
Le Foie convertit l’hormone thyroïdienne thyroxine (T4) dans sa forme tri-iodothyronine plus active (T3).
Les hormones thyroïdiennes agissent en tant que thermostat du corps, en réglant la vitesse à laquelle la quasi-totalité des réactions biochimiques se produisent dans l’organisme. La conversion insuffisante de T4 en T3 par le foie peut entraîner une hypothyroïdie qui appauvrit l’énergie, conduisant à la fatigue chronique, la prise de poids, des troubles de mémoire et une multitude d’autres problèmes.
L’hormone de croissance (HGH) est produite par la glande pituitaire située dans notre cerveau.
Cette hormone entraîne la sécrétion de l’hormone anabolisante peptique IGF-1 (aussi appelé somatomédine C ), une hormone endocrinienne produite par le foie, analogue à l’insuline, qui ne reste dans le corps que pendant quelques minutes, et joue un rôle influent dans pratiquement tous les systèmes de muscles, des os, dans la croissance et la réparation du tissu conjonctif, dans la régulation sélective de divers aspects du métabolisme, ainsi que d’aider à maintenir la fonction normale du cerveau et de la santé cardiaque.
L’hormone de croissance (HGH) a une action lipolytique (mobilisation des graisses), hyper-glycémique et diabétogène, elle stimule la chondrogenèse et l’ostéogénèse par l’intermédiaire de l’IGF, et elle est antinatriurétique. Un certains nombres de sportifs et d’adeptes du bodybuilding ont vite compris que l’hormone de croissance possède des effets métaboliques sur leurs gains de performance : masse musculaire accrue, modification des fibres énergétiques, puissance accrue, propriétés antivieillissement, stimulation sexuelle.
L’insuffisance en HGH chez l’adulte entraîne un phénotype de syndrome métabolique, à savoir l’augmentation de l’adiposité, la diminution de la masse musculaire, des troubles métaboliques et une augmentation des complications vasculaires.
Vu que leur utilisation est souvent associée à une augmentation de l’activité plasmatique des enzymes hépatiques telles que la transaminase (AST), l’alanine aminotransférase (ALT), la phosphatase alcaline (AP), le lactate déshydrogénase (LDH) et le gamma glutamyl transférase (GGT). Ces enzymes sont présentes dans les hépatocytes dans des concentrations relativement élevées, et une augmentation des taux plasmatiques de ces enzymes reflètent une lésion hépatocellulaire ou au moins une perméabilité accrue de la membrane hépatocellulaire.
Dans le bodybuilding, où habituellement des doses élevées sont utilisées, après l’arrêt de l’emploi de stéroïdes, la Gonadotropine (HCG) est souvent administrée pour stimuler la fonction testiculaire. L’efficacité de cette thérapie est inconnue.
L’insuline est produite par les cellules ß du pancréas en réponse à des concentrations élevées de glucose dans le sang.
Quand une personne n’a pas consommé les glucides nécessaires (sucres) le pancréas va libérer une hormone appelée Glucagon pour mobiliser les réserves dans le foie. Lorsque nous nous entraînons dans la salle de gym, les muscles ont besoin d’éléments nutritifs et deviennent sensibles à n’importe quelle quantité d’insuline. Les deux principaux organes qui éliminent l’insuline excédentaire sont le foie et les reins. Chez un patient non diabétique le foie élimine environ 60% de l’insuline endogène par l’intermédiaire de la veine porte hépatique tandis que le rein en élimine environ 35 à 40%.
L’action hépato protectrice de 52 est inégalée dans les soins du foie.
Les ingrédients naturels dans Liv.52 présentent des propriétés hépato protectrices puissantes contre l’hépato toxicité induite chimiquement. Il rétablit le fonctionnement normal du foie en protégeant le parenchyme hépatique, favorisant ainsi la régénération hépatocellulaire. L’activité anti peroxidative de Liv.52 empêche la perte de l’intégrité fonctionnelle de la membrane cellulaire, maintient le cytochrome P-450 (un groupe important et diversifié d’enzymes qui catalysent l’oxydation des substances organiques), accélère le délai de rétablissement et assure un rétablissement rapide des fonctions hépatiques dans une hépatite infectieuse.
Le desmodium est un genre de plantes qui appartiennent à la famille des Fabacées.
Son nom vient du mot grec «desmos”; cela signifie une liaison ou une chaîne et il se réfère aux fruits de la plante. En raison de la teneur importante de flavonoïdes, certaines espèces de Desmodium sont bonnes pour le foie. Il améliore l’état de notre foie et il empêche et lutte contre des problèmes de foie comme l’hépatite ou la cirrhose.
Le foie est le principal organe de la décomposition des hormones après avoir purgé leur fonction de messager à leurs cellules cibles.
Par exemple, si le foie fait ne traite pas l’insuline assez rapidement, il en résulte de l’hypoglycémie vu que l’insuline continue à abaisser la glycémie. Si l’adrénaline n’est pas éliminée après avoir rempli son rôle, cela peut mener à des périodes chroniques d’irritabilité et de colère.
Les protéines et le foie
Le foie est le principal régulateur du métabolisme des protéines. Il convertit des acides aminés différents l’un dans l’autre, selon les besoins. Le foie synthétise également la créatine à partir des acides amines glycérine, arginine et méthionine. Sans la créatine phosphate biochimique de super haute énergie, l’athlétisme de type sprint serait biologiquement impossible.
Les principales protéines synthétisées par le foie sont résumées ici :
Albumine – 25% de la production de la protéine dans le foie
Globulines – A1
Haptoglobulins
Mucoprotéines
A2 – globulines
Céruloplasmine
Glycoprotéine
Macroglobuline
Plasminogène
Prothrombine
b-globulines
Lipoprotéines de basse (LDL) et très basse densité (VLD)
Transferrine
Les facteurs de coagulation du sang *
Les facteurs I, II, V, VII, VIII, IX et X
Une des principales fonctions du foie est de produire des protéines sécrétées dans le sang. Les protéines plasmatiques sont constituées de nombreuses protéines connues, y compris l’albumine, les fibrinogènes et les apolipoprotéines. Les facteurs impliqués dans l’hémostase et la fibrinolyse y compris les facteurs de coagulation, l’antitrypsine et le plasminogène, sont sécrétés dans le sang, ainsi que des protéines de transport telles que la transferrine et la protéine de liaison du rétinol. Des exemples de protéines plasmatiques comprennent APOB, APOA1, FGG, C2, KNG1 et FGA.
Selon l’American College of Sports Medicine (ACSM) et l’American Dietetic Association (ADA), les besoins en protéines augmentent légèrement chez les personnes très actives:
Pour les athlètes d’endurance, les besoins en protéines sont de 1,2 à 1,4 g par kg de poids corporel par jour, tandis que ceux pour les sports de résistance et de construction de muscles peuvent être aussi élevés que 1,6 à 1,7 g par kg de poids corporel par jour.
Ces apports recommandés en protéines peuvent généralement être fournis uniquement par l’alimentation, sans l’utilisation de suppléments de protéines ou d’acides aminés, si la consommation d’énergie est suffisante pour maintenir le poids corporel.
L’ACSM et l’ADA affirment également que des protéines de qualité consommées après l’exercice fourniront des acides aminés pour la construction et la réparation des tissus musculaires.
Les athlètes devraient consommer un repas mixte fournissant des glucides, des protéines et des matières grasses, peu après une compétition intense ou une session de formation.
L’importance du foie pour les sportifs
Un foie sain est essentiel à une performance optimale. Une bonne fonction hépatique est nécessaire pour brûler les graisses, augmenter la masse musculaire, et fournir de l’énergie.
Le foie efface les toxines et gère la transformation des protéines et des graisses. Un foie sain brûle les graisses et permet un apport de protéines pour construire les muscles.
Un foie faible, ou un foie qui est accablé de toxines et de stress ne seront pas en mesure de remplir ces tâches efficacement.
Une alimentation saine, en étant conscient de la quantité de pilules que vous ingérez, et quelques suppléments de choix pour le foie, peuvent préserver la musculation, brûler efficacement les graisses, et garder votre foie en bon état pour des années à venir.
Voici quelques étapes que chaque athlète peut prendre pour préserver le foie et assurer son bon fonctionnement :
Éviter l’alcool et le tabac
Obtenir suffisamment de sommeil, ce qui contribue à créer un système immunitaire plus fort
Surveiller l’apport en protéines, surtout pour les culturistes et les haltérophiles
Consommer des suppléments de haute qualité qui sont utiles pour la récupération du foie comme des multi vitamines de haute qualité et le chardon-Marie.
Surveiller de près votre consommation de drogues qui améliorent la performance. Les utilisateurs de stéroïdes en particulier doivent consulter leur médecin chaque année pour examiner les enzymes hépatiques.
Éviter la consommation quotidienne d’AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens comme l’ibuprofène et l’acétaminophène)
S’exercer régulièrement … l’exercice est très important pour une bonne fonction hépatique
Adopter un régime alimentaire qui favorise la santé du foie
Éviter la déshydratation. Il est impératif de rester hydraté. Et ne pas sous-estimer les avantages d’une bonne eau pure à l’ancienne.
Les maladies du foie
Bien que les maladies du foie soient typiquement liées à l’alcool ou la drogue, la vérité est qu’il y a plus de 100 formes connues de maladie du foie causées par une variété de facteurs et qui nous affectent tous, des bébés aux personnes âgées.
En voici quelques unes :
Hépatite
Atrésie des voies biliaires
Cirrhose
Maladie kystique du foie
Stéatose du foie
Galactosémie
Calculs biliaires
Syndrome de Gilbert
Hémochromatose
Cancer du foie
Les maladies du foie pendant la grossesse
Hépatite Néonatale
Cirrhose biliaire primitive
Porphyrie
Sarcoïdose
Hépatite toxique
Glycogénose Type 1
Hépatite virale A, B, C
Maladie de Wilson
Hépatite virale
Le foie et l’alcool
Des facteurs tels que le sexe, l’âge, la nationalité, le poids et la santé peuvent affecter la façon dont le foie d’une personne métabolise l’alcool. Lorsque le foie a trop d’alcool à manipuler, une fonction hépatique normale peut être interrompue conduisant à un déséquilibre chimique.
L’alcool transforme certaines cellules du foie en graisse et en endommage d’autres.
L’alcool est facilement absorbé par le tube digestif, et jusqu’à 98% est métabolisé dans le foie. Chaque cellule du foie contient trois voies pour le métabolisme de l’alcool.
Avec une utilisation régulière d’alcool, cette capacité régénérative peut être inhibée et entraîner des dégâts au foie. Une forte consommation d’alcool à long terme peut conduire à l’accumulation de graisse dans le foie, qui peut évoluer vers une hépatite alcoolique, ou aboutir à la cirrhose du foie.
Voilà pourquoi il est important de respecter les directives de consommation sensible et de faire passer au moins deux jours par semaine sans alcool.
Le maximum recommandé pour les hommes est de 4 verres standard par jour. Pour les femmes, 2 verres standard par jour.
Un verre standard contient 10 grammes d’alcool, et équivaut à une bière ordinaire ou un petit verre de vin (100 ml).
Plus de 6 verres standard par jour pour les hommes, et 4 verres standard pour les femmes, devient dangereux pour le foie. Les effets à long terme de l’alcool sur le foie sont des douleurs intenses, l’inflammation (hépatite) et la cirrhose.
Pourquoi et comment protéger son foie
Le foie est un organe merveilleusement complexe qui nourrit et protège votre corps jour après jour. Il aide à neutraliser et éliminer des toxines, donne a votre corps l’énergie dont il a besoin pour fonctionner, combat les virus et les infections, régule les hormones sexuelles, le taux de cholestérol, de vitamine et de minéraux dans votre corps.
Afin de préserver la santé de votre foie, il est important que vous compreniez les rôles cruciaux que le foie joue dans le maintien de votre santé globale et quelles sont les activités que vous pouvez prendre pour acquis mais qui peuvent aider ou nuire à cet organe vital. En vous instruisant plus a propos de votre foie et comment le garder en bonne santé, vous pouvez réellement aider à réduire votre risque de développer non seulement une maladie du foie, mais aussi d’autres conditions de santé, notamment le diabète et les maladies cardiaques.
Santé, Mode de vie
Une alimentation saine et de l’exercice régulier aident le foie à bien travailler. Un régime alimentaire malsain peut conduire à une maladie du foie. Par exemple, une personne qui mange beaucoup d’aliments gras est plus à risque d’être en surpoids et d’avoir une stéatose hépatique non alcoolique.
Votre nourriture
Consommez des aliments de tous les groupes: céréales, protéines, produits laitiers, fruits, légumes, et lipides.
Consommez des aliments qui ont beaucoup de fibres, comme les pains de grains entiers, le riz et les céréales.
Consommez des matières grasses avec modérationet privilégiez-en les « bonnes », comme les huiles d’olive et de canola, les noix et les graines.
Limitez la quantité d’alcool que vous buvez.
L’alcool peut endommager ou détruire les cellules du foie. Des dommages au foie peuvent conduire à l’accumulation de graisse dans le foie (foie gras), l’inflammation ou le gonflement de votre foie (hépatite alcoolique), et / ou des cicatrices de votre foie (cirrhose). Pour les personnes ayant une maladie du foie, même une petite quantité d’alcool peut aggraver la situation. Parlez à votre médecin pour évaluer quelle quantité d’alcool est bonne pour vous.
Les agents de protection du foie
Le Samagen, un agent végétarien d’extrait de chardon-Marie (Silybum marianum) dans la composition de Samarin, protège le foie contre toutes les influences néfastes et de promouvoir la récupération des cellules saines dans le foie.
Le Legalon® (MZ 80) aide à maintenir la bonne fonction du foie. Legalon contient l’extrait breveté du Silybum Marianum (chardon de lait) qui a été développé par le fabricant allemand de médicaments à base de plantes Madaus, en 1968. Les essais cliniques ont démontré que Legalon favorise la santé du foie par:
L’inhibition de l’activation inflammatoire des cellules
L’inhibition du stress oxydatif
L’inhibition de l’activation des cellules étoilées hépatiques qui causent la fibrose
Aide au renouvellement de cellules hépatiques normales et saines.
Gérez vos médicaments. Lorsque des médicaments sont pris à tort – en en prenant trop ou même en les mélangeant, le foie peut être atteint. Informez-vous sur les médicaments et comment ils peuvent affecter le foie. Suivez les instructions de dosage. Parlez souvent à un médecin ou à votre pharmacien a propos des médicaments que vous prenez.
Évitez de respirer ou de toucher des toxines. Les toxines peuvent blesser les cellules du foie.
Limitez le contact direct avec les toxines des produits de nettoyage et des aérosols, insecticides, produits chimiques et additifs dans les cigarettes.
Ne fumez pas
Comment nettoyer son foie
Votre foie est un peu le nettoyeur du corps. Il nettoie le sang de toutes les toxines que l’on absorbe et conserve le bon fonctionnement des systèmes internes.
L’alimentation moderne, les polluants environnementaux, et notre dépendance croissante sur les produits toxiques de soins ménagers et personnels ont fait que nos foies doivent travailler beaucoup d’heures supplémentaires et lutter pour garder le rythme. Pour cette raison, il est important de savoir comment nettoyer le foie d’une manière approfondie, efficace et naturelle.
Les milliers de systèmes enzymatiques qui sont responsables de pratiquement toutes les activités du corps sont construits dans le foie ; le bon fonctionnement des yeux, du cœur, du cerveau, des articulations et des reins dépend de la bonne activité du foie. Si le foie arrête de construire même l’un des milliers des systèmes enzymatiques dont le corps a besoin, il y a une déficience de la fonction globale du corps et un plus grand stress métabolique sur l’individu.
Vous pouvez essayer un supplément de désintoxication du foie de qualité, ou vous pouvez utiliser certains articles trouvés dans votre magasin d’aliments de santé local, votre épicerie, ou même certains qui sont déjà dans votre cuisine.
Voici comment nettoyer votre foie avec 5 aliments courants
Citron et eau chaude – l’eau chaude et le citron est un excellent moyen de désintoxication de votre foie chaque matin. Ce n’est pas de la limonade, donc il n’y pas besoin d’ajouter du sucre ou autre chose. Juste de l’eau pure et une bonne dose de jus de citron frais.
Ail – Ajoutez un peu d’ail à votre cuisine ou émincez un clou de girofle dans votre prochaine salade. L’ail contient des composés soufrés qui peuvent aider à activer les enzymes dans le foie. Il contient de l’allicine et du sélénium, qui sont tous les deux efficaces pour la protection du foie.
Les avocats – Comme si vous aviez besoin d’une autre raison d’ajouter les avocats à votre régime alimentaire, une étude japonaise a constaté que les avocats contiennent des composés qui peuvent protéger le foie. En comparaison avec 21 autres fruits, les avocats avaient le plus de promesses pour protéger le foie contre la galactosémie, une toxine “puissante” qui endommage le foie un peu comme l’hépatite virale humaine.
La coriandre – Cette herbe polyvalente peut être ajoutée à peu près à tous les plats, y compris aux salades ou aux smoothies. Cette herbe peut aider à éliminer les métaux lourds de l’organisme.
Le curcuma – une autre épice puissante avec une longue liste d’avantages, le curcuma non seulement protège le foie contre les dommages, mais favorise aussi la régénération des cellules du foie. En outre, il augmente la production de bile et aide à éliminer les toxines.
Le nettoyage de votre foie est essentiel, il ne faut pas hésiter à intégrer ces solutions de nettoyage dès aujourd’hui.
Conclusion
Le lien entre une bonne santé et une bonne nutrition est bien établi. L’intérêt pour la nutrition et son impact sur la performance sportive est maintenant une science en soi.
Un mode de vie sain est une façon de vivre qui diminue le risque d’être gravement malade. Toutes les maladies ne sont pas inévitables, mais les maladies coronariennes et le cancer du poumon en particulier, peuvent être prévenues.
La santé c’est non seulement d’éviter une maladie mais aussi de préserver un bien-être physique, mental et social. Que vous soyez un athlète de compétition, un sportif du week-end ou un sportif amateur quotidien, la base pour l’amélioration des performances est un régime alimentaire équilibré.
Toutes nos informations utiles sur le dopage et l’endurance pour en comprendre le mécanismes et le fonctionnement pour de meilleurs résultats sportifs.
L’endurance. Une manne espérée par beaucoup de sportifs. Elle est aujourd’hui à la portée de ceux qui s’informent correctement sur les produits dopants, qui, associés intelligemment permettent l’obtention de résultats dépassant largement les espoirs.
Que ce soit pour la course à pied, le tennis, le cyclisme ou tout autre sport sollicitant des efforts physiques extrêmes et longs. Plusieurs laboratoires se sont associés pour la création de molécules qui ont pour propriété de pousser le corps à gagner en endurance et à se fatiguer moins vite.
Quel que soit l’effet recherché par les sportifs comme l’endurance, les performances, la perte rapide de la masse graisseuse ou le gain tout aussi rapide de la masse musculaire. Tout un panel de produits dopants créés pour agir sur des cibles bien étudiées du corps sont à la portée de tous.
Il y a cependant différents sports et différents sportifs. Le temps étant de l’argent, beaucoup de sportifs ont donc la nécessité d’un gain rapide de muscles et d’endurance. Quelques expériences ont prouvé que l’on pouvait atteindre en quelques jours des effets que d’ordinaire on obtenait en plusieurs mois voire même des années. Certains résultats sportifs ne laissent plus aucun doute sur les performances acquises grâce aux stéroïdes.
Le culturisme est sans aucun doute la discipline sportive ou les effets des stéroïdes sont le plus remarquablement visibles. Ces sportifs dès leur début dans le monde du body-building apprennent à tester et à reconnaître l’efficacité de différent stéroïdes afin d’atteindre des performances musculaires et d’endurances spectaculaires. Avec le temps, ils apprennent à créer leur propre mélange des différents stéroïdes en ayant pour cible certains effets. Ils deviennent leur propre coach et leurs expériences font école dans les milieux professionnels. Leur apparence est la signature de différentes molécules, qui, mélangées intelligemment, aident à obtenir les galbes désirés. Cependant, dans ce sport extrême, pour garder un corps bien sculpté, il faut encore aujourd’hui prendre des stéroïdes en continuité. Selon certains cas tous les jours.
Il faut avant tout se renseigner correctement sur les premiers stéroïdes à prendre. Si les culturistes sont encore obligés de se faire des injections, des laboratoires ont su mettre sur le marché des produits naturels tout aussi efficaces et présentant beaucoup moins d’effets secondaires. Il faut cependant avant de commencer à prendre des stéroïdes en connaître la plupart et surtout comprendre leur utilisation afin d’éviter les accidents inutiles. Chaque molécule est particulière et chacune est utilisée pour un effet ciblé. Ce n’est pas pour autant qu’il faille se diriger vers les plus performantes dès le début car il faut avant tout tester et tester encore, en utilisant avant tous les produits les plus recommandées avant de se diriger vers des molécules aux effets plus explosifs.
D’un point de vue physiologique, les stéroïdes anabolisants agissent sur la masse musculaire au moins de deux façons. En premier, ils augmentent la production de protéines, en second, ils réduisent le temps de récupération en bloquant les effets du cortisol sur le tissu musculaire, de sorte que le catabolisme des muscles soit fortement réduit. Cette réduction est due au fait que les stéroïdes inhiberaient l’action d’autres hormones favorisant la dégradation des muscles.
Il est bon pour cela de connaître quelques noms de stéroïdes afin de savoir vers lequel se diriger en premier car ils possèdent chacun souvent des particularités qui leur sont propres comme le Winstrol qui est utilisé par les bodybuilders surtout dans des cycles d’assèchement pour réduire considérablement la rétention d’eau et la graisse. C’est un stéroïde anabolisant modéré et peu androgène. Le Boldenone, est un stéroïde recommandé pour les débutants. Ses actions ne sont pas spectaculaires mais il permet d’obtenir une musculature galbée et durablement acquise. Il faut attendre un certain temps pour arriver aux effets désirés. On ne lui connaît pas d’effets secondaires important. Son intérêt est d’être un stéroïde aidant à développer une masse moindre mais de bonne densité avec une faible rétention d’eau.
La liste est longue et il n’y va que de l’intérêt de celle ou celui qui voudrait en faire l’expérience de s’y attarder. Toute personne cherchant à se doper est avant tout une personne qui a pour projet de faire de la compétition et qui dit compétition pour ce qui est du sport dit aussi dépasser les limites naturelles de son propre corps. La puissance apportée par les anabolisants est indéniable. Pour premier exemple celui du cycliste Lance Armstrong qui, moins de deux ans après une chimiothérapie extrême, gagna le tour de France. Plus qu’une victoire, c’est un message d’espoir. Ces exploits, même si tout le monde sait aujourd’hui qu’ils ont été réussis grâce à l’EPO, laisse malgré tout un message positif pour ce qui est des capacités phénoménales d’endurances et de guérison obtenues. Si le sport est un tremplin nécessaire pour amener à admettre qu’il soit intéressant de reconnaître certains effets bénéfiques des stéroïdes dans le monde médical, il faudra apprendre à porter un regard plus curieux et moins accusateur en ce qui concerne la science des hormones.
La testostérone est le pilier de la construction musculaire. C’est une hormone masculine, qui, si elle venait à se trouver en nombre supérieur dans le corps se transforme parfois en œstrogènes. Ce phénomène peut provoquer la gynécomastie. Dans le monde du culturisme et du sport on appelle cela l’aromatisation. C’est un des phénomènes les plus répandus chez les débutants. Certains produits injectables en sont la cause. C’est pour cela qu’il est nécessaire de toujours se renseigner sur les effets secondaires. Il est même parfois plus indiqué de s’y attarder car de nouveaux produits sortent sans arrêt sur les marchés.
Les produits dopants ont mauvaise presse depuis des années et sont souvent assimilés à de la triche pour ce qui est des disciplines sportives dépendantes des fédérations nationales et internationales pour qui le dopage est une faute grave la plupart du temps sanctionné par l’exclusion du sportif.
Il ne peut en être autrement. Après tout, le sport est un dépassement de soi physiquement et psychiquement avec toute la loyauté que le sportif doit mentalement à son corps, son esprit sportif et à ceux qui le soutiennent. Seulement les époques changent et il est nécessaire de savoir s’adapter. Aujourd’hui, aucune discipline sportive n’a été exempte d’un scandale à propos du dopage. Il serait peut-être intéressant aujourd’hui de se poser la question d’une autre façon. Si le dopage est partout, ne serait-ce pas aussi la cause d’une époque où les sponsors et leur manne financière poussent les sportifs dans leurs derniers retranchements obligés de fournir un résultat à l’image des marques ?
Chaque époque possède ses codes. Aujourd’hui, il serait plus intéressant de laisser la recherche fournir aux sports quels qu’il soit, la possibilité d’aller de l’avant en relevant tous les défis possibles et de mettre à jour tous les produits scientifiques sans avoir à se voiler la face, ni à craindre les hypocrisies organisées des fédérations sportives et des nations.
Car c’est bien cette hypocrisie toute consentie qui pousse les laboratoires à une guerre sans merci où le secret et la fraude est loi leur permettant de vendre toujours plus cher quelques nouveautés qui soient ne laissant ni le temps de faire des analyses légales, ni la traçabilité des produits. Réduisant les sportifs à des rats de laboratoires.
Quel que soit le jugement que l’on pourrait poser sur les produits dopants, que l’on soit pour ou contre, n’enlève pas le fait que les résultats spectaculaires démontrés par certains sportifs sont la preuve des effets réels de certaines molécules.
Comment sera fait l’avenir du dopage génétique, avec l’avancée des recherches clinique et les avancées sur des hormones comme la Myostatine ?
Chaque être humain présente des limites. Pourtant, il existe depuis des décennies, des moyens dits de « dopages » pour les dépasser afin d’accroître rapidement ses performances physiques, intellectuelles et surtout psychomotrices. Le dopage est le fait d’injecter ou d’absorber des produits des substances pharmaceutiques et / ou médicinales dans l’organisme pour augmenter les performances d’un individu. Cet acte peut être l’utilisation des procédés naturels ou la consommation d’une substance artificielle particulière.
Le dopage est très prisé pour affronter un obstacle réel ou ressenti, pour augmenter ses capacités dans de nombreux domaines tel que sportif, examen, entretien d’embauche, prise de parole en public ou dans les situations professionnelles ou sociales difficiles. Mais d’après l’histoire, qu’est ce qui a donné naissance au dopage et comment fonctionne-t- il ?
Quels sont les effets, les agissements et les conséquences du dopage à l’organisme humain?
Quels sont les différents types de produits du dopage de nos jours?
Comment sera fait l’avenir du dopage génétique, avec l’avancée des recherches clinique et les avancées sur des hormones comme la Myostatine ?
Un peu d’histoire
Le dopage ne date pas d’hier bien sûr. Depuis la nuit des temps les hommes ne cessent de chercher à améliorer leurs performances à l’aide de potions magiques stimulantes ou d’une recette artisanale pour se fortifier. C’est la recherche pharmaceutique et médicinale actuellement.
Les premiers concepts de dopage sont présents depuis l‘antiquité plus précisément en 3000 ans avant notre cher J-C.
Les premiers hominoïdes destinées à l’ingestion directe permettent d’augmenter mécaniquement les capacités de l’organisme. Les plantes stimulantes médicinales possèdent des vertus antifatigues. Connu de civilisations en civilisations, de générations en générations, de l’Iliade à l’odyssée les plantes tel que l’éphédrine ou l’éphédra sont les meilleures des dopages utilisés. Les feuilles de sauge renferment des propriétés toniques pour les grecs et les romains.
A l’époque, les athlètes doivent puiser leurs forces dans les animaux en mangeant leurs chairs fraîches.
Le zénith dévore les testicules des puissants animaux. Dans le VIème-VIIème siècle avant J-C, les athlètes Grecs se focalisent sur la prise de stimulants à des fins de performances. Ainsi, les Grecs avalaient des viandes variées suivant les conditions de la pratique sportives La viande de chèvre est mangée par les sauteurs. Quand aux boxeurs et les lanceurs, la viande de taureau est leur alliée. Et pour les lutteurs, ils mangent la viande grasse de porc.
A cette époque, dans les pays africains et amérindiens, la prise de drogue est très courante pour augmenter leur énergie physique et psychique ainsi que le potentiel sexuel de chaque individu. Les feuilles de coca sont mâchées par les sud-américains et la noix de Kola par les Africains. La noix de Kola est un stimulant efficace contre la fatigue et le stress. La noix renfermant des vertus stimulantes. Ses feuilles et ses racines d’Iboga donne les forces nécessaires pour résister à la fatigue.
L’expérience avec les indigènes du Gabon s’avère positive selon le docteur Albert Schweitzer. Quant à la feuille de coca, elle donne aux Boliviens et Péruviens des Andes, l’énergie principale pour marcher toute la journée sans manger ni dormir et pour faciliter la respiration dans le désert.
Les sangliers et la viande de biches étaient aussi des stimulants très connus par les lutteurs Bretons du XVème siècle, les terrassiers hollandais et les rugbymans.
Le dopage de nos jours
De nos jours, il existe différents type de dopage pour le corps, les muscles et le cerveau.
Le dopage destiné à modifier les performances du corps de nos jours est varié.
Des peptides, des narcotiques, des stimulants, des hormones, des diurétiques ou encore des bétabloquants.
Le dopage touche les différents types de sports. Que ce soit les femmes ou les hommes, amateur ou professionnel.
Pour amplifier la force vasio-musculaire .Ce sont des produits qui forcent le corps humain à recréer des nouveaux tissus et des muscles tel que les stéroïdes anabolisants, les peptides ou l’hormone de croissance ainsi que l’oxygénation sanguine via l’EPO.
L’avenir du dopage
Selon la recherche clinique, une grande amélioration est marquée dans différentes substances dopantes. Grâce au développement de techniques nouvellement mise en place les sportifs de haut niveau sont transformés en athlètes génétiquement performants.
Les technique de thérapie génétique sont détournées et exploitées aujourd’hui en dopage afin d’augmenter la masse musculaire des athlètes et son maintien, en augmentant la production de facteur IGF-1 par exemple. De plus, ces substances injectées dans les muscles sont de plus en plus indétectables par des analyses urinaires ou sanguines.
Seule le prélèvement d’une petite partie d’organe ou tissu dite biopsie permet de deviner la présence de gènes de synthèse. Le dopage génétique en forme de molécule atteint également les tissus particuliers de l’organisme humain.
L’avenir pour le dopage est un peu inquiétant. Difficile à cerner, ces substances sont incontrôlables à l’heure actuelle.
Avec l’inhibition de la Myostatine par exemple nous sommes en passe de voir des surhommes sur les terrains de sport et dans les salles de body.
Et la recherche clinique ne cesse d’évoluer. Des produits comme le tb500 qui permettent une régénération cellulaire en sont le bon exemple.
De nombreux groupes pharmaceutiques travaillent afin de trouver de nouveaux produits pour le dopage génétique.
Métamorphoser directement les gènes et les cellules humaines ainsi que ses éléments physiologiques. Tels est le rêve de demain.
Ces produits dopant génétiques commanderont les performances physiques et les capacités mentales de celui qui les utilisera. La course aux produits ne s’arrêtera jamais.
L’avenir du dopage rassure les futures collaborations avec l’industrie pharmaceutique pour faciliter l’échange d’informations et recevoir des informations confidentielles pour développer nos sportifs de demain.
La croissance musculaire n’est plus au rendez-vous ? Vos performances ne progressent plus du tout ? La motivation décroit de jour en jour… Vous vivez certainement une phase de stagnation ! C’est frustrant, oui… Pas d’inquiétudes, il ne faut simplement pas se laisser abattre, cela arrive même aux meilleurs, sans exception. C’est tout à fait normal d’arriver à ce stade un jour ou l’autre, mais voyons comment nous pourrions relancer la machine.
Qu’est-ce que la stagnation ?
“Lorsque les progrès s’essoufflent…”
Au fil des mois et des années d’entraînement, le corps évolue et le psychisme du pratiquant de musculation aussi. Des changements professionnels, affectifs, au niveau de l’entraînement, ou bien encore de nouvelles habitudes alimentaires peuvent influer de façon importante sur les performances et la progression.
Pouvant dépendre de facteurs aussi bien liés à l’entraînement qu’externes à celui-ci, une phase de stagnation peut survenir de façon aléatoire. Inquiétant n’est-ce pas ?
C’est une sorte de saturation physique ou psychologique qui peut toucher tout le monde dans le bodybuilding. La progression n’étant jamais linéaire, il est tout à fait normal de plafonner à un certain niveau au bout d’un moment. Cela est bien évidemment frustrant de se voir stagner après avoir progressé plus ou moins rapidement et facilement auparavant, de voir que ce qui marchait par le passé ne fonctionne plus. Cependant, lorsque cette saturation s’éternise dans le temps, et qu’elle n’est plus seulement un simple passage, il est important de réagir et de se remettre en question, d’autant plus si cela affecte beaucoup votre moral. Bien qu’il ne soit pas facile de revoir sa façon de s’entraîner, notamment quand la routine s’est installée, cela vaut le coup et vous permettrait de trouver plus de plaisir à s’entraîner.
Voyons voir les points à réviser afin de permettre un déblocage de la situation, pour continuer à avancer sereinement vers vos objectifs et votre bien-être !
S’améliorer pour échapper à la stagnation
« Patience… ! »
L’une des qualités qui vous servira le plus en musculation, c’est bien la patience. Lorsque l’on progresse, elle n’est pas forcément mise à rude épreuve, mais dès lors que les progrès sont moins flagrants, c’est une toute autre histoire. Alors, il faut relativiser, prendre conscience que l’on ne peut pas obtenir le physique, ni les performances que l’on vise en un clin d’œil. Cependant, si vous arriver à tenir bon, vous serez récompensé de vos efforts au bout d’un moment.
« Optimiser son entraînement »
Concernant les exercices, privilégiez ceux de base, comme le squat, rowing, dips, tractions et le développé couché par exemple, qui sont des valeurs sûres, surtout pour ceux qui n’ont pas un niveau très avancé. Ces exercices sont primordiaux, car ils offrent de grands mouvements et sont nécessaires à la prise de masse musculaire. Il ne faut pas éviter forcément le squat par exemple sous prétexte qu’on ne le maîtrise pas et qu’on a peur de se faire mal. Lancez-vous, avec précaution, en vous laissant le temps d’apprendre à bien les exécuter et en travaillant lentement. L’entraînement des jambes est très important, puisqu’il permet notamment une stimulation conséquente du taux d’hormones dont les hormones de croissance qui serviront à la récupération et à la croissance de l’ensemble des muscles du corps. Il en va de même pour ceux que vous jugez trop fatigants, comme les dips pour certains. N’attendez plus pour vous construire de solides bases, ensuite, vous pourrez passer plus de temps sur les exercices d’isolation. A ce stade, vous ferez attention à ne pas changer d’exercices trop souvent, lorsqu’il s’agit de travailler le même muscle, en restant sur le même au moins 2 mois. Pourquoi, parce qu’il faut un certain temps pour les fibres musculaires « comprennent » qu’il va falloir « vous faire plaisir » en se développant.
« Casser la routine »
On a vu qu’il ne fallait pas changer d’exercices trop souvent, mais ne jamais le faire serait contre-productif à long terme. Offrir de nouveaux exercices à votre corps est une bonne chose, car cela provoquera de nouveaux stimulis à vos muscles. Aussi, en plus d’augmenter au fur et à mesure les répétitions et le poids pour progresser, vous pouvez varier le nombre de répétitions, de séries et l’intensité ou bien encore effectuer une périodisation de votre travail en variant entre développement de la force (1 à 6 répétitions d’exercices de base avec des charges maximales), entrainement de culturiste (mixe d’exercices poly-articulaires et d’isolation à raison de 8 à 12 répétitions par séries avec des charges modérées à lourdes) et de force/endurance (10 à 12 répétitions avec des charges un peu plus légères).
« Se donner à 100% en toute sécurité »
Utilisez votre mental pour aller un peu plus loin à chaque séance, en effectuant une répétition supplémentaire par exemple. Ne lâchez rien. Alors que vous pensez que vous n’allez pas réussir, n’abandonnez pas même si vous prenez quelques secondes de plus à réaliser l’ultime répétition. Si vous n’avez aucun mal à finir vos séries et que votre vitesse d’exécution est toujours identique, c’est que vous ne forcez pas vraiment.
Forcer ne veut pas dire mettre le plus de poids possible et tricher en bougeant dans tous les sens, en donnant une impulsion, en tirant d’un coup sec pour soulever un poids qui ne vous est pas adapté et le laisser redescendre brusquement. Vous travaillez pour votre propre corps, choisissez donc vos poids en fonction de vos besoins et non par rapport aux autres, sous peine de ne jamais sortir de cette satanée stagnation. De même, il faut être capable d’effectuer le mouvement de façon correct et d’être tout à fait concentré sur sa technique. Réduisez le poids de vos charges de 10% en essayant de réaliser l’intégralité des séries avec des mouvements parfaits, puis revenez à vos charges habituelles et plus encore.
« Une ambition raisonnable et une motivation à toute épreuve »
La motivation est une des clés de votre progression et de votre réussite. C’est normal de ne pas être motivé tout le temps, à chaque séance. Cependant, prenez un instant pour réfléchir à ce manque de motivation, qui est d’ailleurs encore plus présent lors d’une phase de stagnation. Fatigue, découragement, moral en berne, manque de plaisir à s’entraîner ? Voulez-vous vraiment vous résigner, ou bien allez-vous vous battre pour atteindre vos objectifs ? Deux choix s’offrent à vous, faites le bon ! Cela veut dire aussi ne pas s’entraîner, et prendre du repos lorsque cela est vraiment nécessaire.
Aussi, il peut être bon pour garder la motivation, mais aussi l’organisation de vos séances, de préserver votre progression par écrit ou sur Excel par exemple. Ainsi, vous pourrez garder un œil sur l’ampleur de ce que vous avez été capable de réaliser.
Se fixer des objectifs irréalistes est le meilleur moyen de vite se décourager. Voyez surtout à court et moyen terme, avec des objectifs que vous ne tarderez pas à franchir, mais en gardant en tête tout de même votre objectif principal, qui se doit d’être raisonnable bien qu’il puisse être ambitieux.
« Fuir le surentraînement »
Vous entraîner plus souvent n’est pas une solution, surtout si elle entrave la récupération des muscles. Soyez à l’écoute de votre corps et des signes qui peuvent révéler ce surentraînement, comme un épuisement inhabituel lors de votre programme, une fréquence élevée du rythme cardiaque au repos, une sensation de stress lors des séances et même des insomnies par exemple. Ne pas prendre au sérieux ce surentraînement pourrait bien vous coûter vos muscles puisque celui-ci a tendance à rendre le ratio de testostérone/cortisol négatif, induisant plutôt un stockage des graisses et la perte de muscles, et cela, ce n’est surement pas ce que vous cherchez !
« N’oublier pas de dormir ! »
Oui, la récupération est essentielle à votre progression car c’est en dehors de vos séances que vos muscles grossissent vraiment, avec les bon petits plats que vous leurs préparez. Il s’agit donc de bien dormir, et suffisamment. Toutefois, n’hésitez pas à pratiquer la sieste dans votre quotidien, mais sur un banc de musculation ce n’est pas optimal et ce n’est pas très gentil pour les copains qui attendent leur tour. Il faut donc se réserver assez de temps de récupération entre chaque séance, ne pas entraîner deux jours de suite le même muscle et garder en tête que les muscles comme le biceps travaille beaucoup pendant l’entraînement du dos, par exemple.
« Adopter une nutrition adaptée et saine »
Enfin, la nutrition tient un rôle essentiel dans le développement musculaire. C’est votre priorité absolue en tant que bodybuilder et vous ne pouvez y échapper si vous souhaitez vraiment évoluer. Ainsi, si vous stagnez c’est peut être que votre nutrition n’est pas adaptée à vos besoins. Vous devez consommer plus de calories que votre corps en a besoin pour construire du muscle, puisque chaque kilo supplémentaire de muscles demande 80Kcal par jour pour être maintenu. N’hésitez pas à prendre des collations dans la journée en plus des repas, et à augmenter les quantités, en féculents notamment, si vous voyez que vous avez du mal à prendre du poids. Consommez environ 2,2g de protéines par kilo de poids de corps, éviter mauvaises graisses (fritures etc…) et au contraire enrichissez votre alimentation de bonnes graisses (Huile d’olive vierge etc…). Dans le cas où vous souhaiteriez perdre du poids, diminuez légèrement cette quantité de féculents. De plus, vous pouvez prendre des compléments alimentaires comme des vitamines ou des minéraux si vous êtes en carence. Rappelez-vous, la patience est primordiale.
La cure de steroide
Si vous êtes parfaitement au point sur tout ce qu’on a pu voir précédemment et que vous ne progressez plus, il n’est pas impossible que vous ayez atteint votre limite naturelle.
Ceux qui ont pour ambition de repousser leur limite au-delà de ce qu’ils peuvent atteindre naturellement, opterons pour la solution des stéroïdes anabolisants tels qu’Anavar/Megavar qui figurent parmi les moins nocifs de tous. Une cure de ce produit peut offrir une approche intéressante pour commencer avec les stéroïdes anabolisant si vous visez un objectif de haut niveau. Optimisant la force de la masse musculaire déjà existante et la vascularité, ce stéroïde anabolisant aussi connu sous le nom chimique d’Oxandrolone a de quoi donner un bon coup de fouet à votre progression et au moral.
Notre pack prise de force est la cure idéale pour réaliser cet objectif.
Prendre le 50-Megavar 50mg – 50 tabs Meditech tous les jours, respectez le tableau des prises pyramidal (42 Tabs)
Prendre 3 Samarin 140mg – 100 tabs Berlin par jour (84 Tabs)
Tableau de cure Prise de Force MEGAVAR (4 semaines)
Semaine
Lundi
Mardi
Mercredi
Jeudi
Vendredi
Samedi
Dimanche
Semaine 1
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
Semaine 2
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
1 tab Megavar
3 tabs Samarin
Semaine 3
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
Semaine 4
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
2 tabs Megavar
3 tabs Samarin
Ainsi, vous pourrez continuer à évoluer et vos efforts seront récompensés.
Conclusion
Si vous prenez en compte chaque point que nous avons vu, il n’y a pas de raison que cette phase de stagnation continue de vous pourrir la vie. Si vous avez lu cet article, c’est que vous prenez le temps d’analyser les facteurs qui peuvent générer cette saturation, et c’est une bonne chose. Supporter la pression encore un peu, le temps que la stagnation laisse place à une réelle progression, et même s’il y a une régression temporaire, ne vous découragez pas, vous êtes quand même sur la bonne voie !
Le coup de foudre, la passion amoureuse : on parle souvent d’une chimie mystérieuse qui nous pousse les uns vers les autres. La chimie, et notamment les hormones, jouent un rôle essentiel dans les relations amoureuses.
Ainsi, pourquoi la passion dure 3 ans en moyenne ? Et pourquoi dit-on que l’amour est aveugle ?
Les hormones ont certainement une incidence sur cela, comme on va le voir.
De plus, si l’on sait que les hormones sont indispensables pour progresser en musculation, alors est-ce qu’une relation amoureuse pourrait être bénéfique au développement musculaire grâce au cocktail d’hormones que cela procure ?
La rencontre
« Le coup de foudre, le commencement »
Le coup de foudre, ou comment en un regard on peut ressentir des sentiments soudains pour un(e) parfait(e) inconnu(e). C’est une vraie rencontre chimique en plus d’être sensorielle.
Les corps libèrent des phéromones, substances volatiles qui sont de véritables signaux d’alertes à destination du partenaire. En s’évacuant de notre corps par les aisselles par exemple, les phéromones pénètrent par le nez de notre interlocuteur pour gagner son cerveau. S’il est sensible à ce message chimique, le coup de foudre opère.
C’est alors que le cerveau est envahi par un cocktail explosif d’hormones et de neurotransmetteurs, dont la noradrénaline qui nous pousse à nous focaliser sur l’être qui provoque le coup de foudre. Le système noradrénergique a éveillé leur vigilance et on retient donc toutes les caractéristiques de l’environnement et les détails de la rencontre. Cette concentration extrême provoque un arrêt sur image.
Le coup de foudre active environ 250 substances, dont 2 hormones qui vont se compléter et se contredire. La sérotonine, hormone chargée de réguler nos émotions, et la dopamine hormone du plaisir. Cela a un impact sur notre jugement. La très forte augmentation de la dopamine donne une sensation de bien-être, de plaisir qu’on ne veut pas perdre et entraîne l’effondrement de la sérotonine.
La sérotonine, c’est l’esprit critique. On ne voit pas les défauts de l’être aimé, on le trouve parfait. Cette baisse de sérotonine qui va perdurer plusieurs jours, voire plusieurs mois explique pourquoi on dit que l’amour est aveugle. En effet, notre cerveau se trouve incapable de percevoir les défauts de l’autre. On peut ainsi tout plaquer par amour, puis 3 semaines après lorsqu’on est dégrisé, on peut changer d’avis complètement ! On peut noter que c’est la phényléthylamine qui est à l’origine du relâchement de dopamine. Ce neurotransmetteur joue le rôle d’amphétamine de l’amour, rendant accro et provoquant un manque en cas d’absence de l’être tant aimé.
La passion
« La passion… pendant un temps seulement »
Pour que le coup de foudre se transforme en grand amour, nous avons un rôle à jouer.
Des études montre que la passion dure 3 ans en moyenne, pourtant des couples qui durent et qui s’aiment, cela existe. On peut l’expliquer. S’il y a des hormones de la passion amoureuse, il en existe d’autres, celles de l’attachement à une personne, qui vont prendre le relais.
La fougue des premiers jours se dissipe, la passion s’émousse petit à petit. En effet, après la surproduction d’endorphine, l’hormone du plaisir nous rendant « aveugle », l’équilibre revient. La sécrétion de ces hormones se fait dans le temps et il y a au fur et à mesure une saturation des récepteurs. La dopamine baisse alors et la sérotonine, chargée de réguler nos émotions peut à nouveau jouer son rôle, c’est ce qui explique que la passion diminue.
Est-ce pour autant que l’amour s’arrête ? Non. Seulement la passion, toute cette énergie concentrée sur un seul être, diminue et s’éteint. Le sentiment amoureux ne va pas disparaître mais il va se construire quelque chose de plus serein, de plus tranquille.
Là encore, c’est une hormone l’ocytocine, qui va participer à la transformation de la passion en amour profond. Et pour cause, l’ocytocine est l’hormone de l’attachement. Cette hormone est par exemple libérée en grande quantité lors de l’accouchement. C’est elle qui crée le lien entre la mère et son bébé.
Cette hormone de l’attachement, gage de complicité et d’épanouissement serait donc l’un des secrets des couples qui durent.
Ces hormones ont des vertus sur notre corps certes, mais elles sont dépendantes de stimulis externes qui vont faire qu’elles vont être libérées. C’est important de le savoir, car il faut les entretenir de cette façon. Donc pour stimuler la production d’hormones de l’attachement, il faut prendre soin de sa relation.
Ainsi, les couples qui ne se parlent pas, qui ne se stimulent pas ne peuvent pas rester ensemble longtemps alors que des couples qui sont toujours à la recherche de petites occasions pour se retrouver et partager des moments ensemble, entretiennent leur capital hormonal d’une manière importante.
L’acte sexuel
« Des hormones sexuelles »
Faire l’amour avec la personne que l’on aime, c’est une source de plaisir et c’est bon pour le moral. Toutefois, l’acte sexuel a d’autres conséquences sur notre organisme, dont le retardement du vieillissement de la peau et ce n’est qu’un seul de ces effets inattendus et bénéfiques.
En effet, en plus d’être équivalent à une marche rapide par rapport à l’intensité, c’est un excellent anti-stress. Vous l’avez remarqué, après avoir fait l’amour, on se sent beaucoup plus détendus, mais comment l’expliquer ?
On va libérer, lorsqu’on éprouve du plaisir, des hormones qui vont venir réparer les dégâts fait par le stress, et en même temps on effondre les hormones du stress.
En clair, le cortisol et l’adrénaline sont deux hormones que nous sécrétons quand nous sommes stressés. Elles accélèrent le rythme cardiaque et augmente la tension artérielle. A trop haute dose, elles peuvent être néfastes pour notre organisme. Le secret pour combattre les effets négatifs du stress est donc la production d’une autre hormone, l’ocytocine. L’ocytocine, qu’on dit souvent être l’hormone des amoureux, hormone que l’on sécrète lorsque l’on prend quelqu’un dans ses bras, on en sécrète en plus grande quantité encore lors de l’acte sexuel et plus le taux d’ocytocine augmente dans le sang, plus le taux de cortisol va baisser. Or, cela est plutôt une bonne nouvelle pour les pratiquants de musculation, car le cortisol est l’ennemi juré de l’anabolisme musculaire et donc du développement musculaire, car celui-ci a pour effet de détruire les tissus musculaires par le catabolisme.
L’acte sexuel est efficace contre les petits maux du quotidien, fini donc l’excuse des maux de tête. Les « câlins » auraient même un effet anti douleur. En langage scientifique, on les dit antalgiques. Les endorphines qui sont sécrétées lors des relations sexuelles, sont de puissants antalgiques, qui vont entraîner une disparition magique des maux de tête par exemple. On étudie même actuellement la possibilité de donner ces antalgiques naturelles qui ont l’énorme avantages d’être dépourvus de tout effet secondaires. Elles se font sentir après des entraînements intenses par le sentiment de bien-être qu’elle procure.
Dernier effet étonnant, la sexualité nous rendrait plus beaux. Selon une étude, une activité sexuelle régulière augmenterait la sécrétion des hormones sexuelles comme la testostérone et les œstrogènes chez la femme. Ce sont elles qui nous donnerait meilleure mine. Ces hormones ont une action sur des tas de cibles, notamment au niveau de la peau où elle favorise la vascularisation cutanée mais aussi la fabrication de certaines fibres, élastines et collagène. Le collagène et l’élastine sont deux protéines qui rendent la peau plus souple et plus jeune. En clair, plus on fait de « câlins » plus notre peau serait ferme et grâce à une meilleure circulation du sang, notre teint serait plus éclatant. De même, quand on pense aux fibres, c’est bel et bien des fibres musculaires qu’il s’agit, la testostérone est ainsi une hormone très importante pour le bodybuilding.
Autre avantage, les câlins conserveraient aussi la DHEA, la déhydroépiandrostérone. Cette fameuse hormone de jouvence préserve la jeunesse de notre organisme. La DHEA favorise la libido, l’énergie vitale. Ceux sont des hormones qui luttent contre l’asthénie, la fatigue et qui vont développer plus le tissus musculaire au détriment du tissus adipeux. Voilà donc une autre alliée du développement musculaire. Toutefois, malgré qu’avec l’âge le taux de DHEA diminue, une activité sexuelle régulière permettrait de conserver cette hormone plus longtemps. Il faut savoir que cette hormone est actuellement considéré comme un produit dopant par l’Agence mondiale antidopage.
Enfin, les hormones peptidiques comme l’ocytocine, de la classe des peptides se distinguent des hormones stéroïdes.
Conclusion
« Un dopant naturel »
C’est incroyable comme nous pouvons être soumis aux effets de ces hormones qui n’ont en réalité qu’un but ultime lors des relations amoureuses, que nous puissions assurer notre descendance. Aussi, nous pouvons être rassurés donc de savoir que l’amour peut durer au-delà de 3 ans, à la suite de cette passion agréable mais éphémère. En revanche, il faut entretenir la flamme et les stimuli hormonaux. Enfin, maintenant vous connaissez les secrets concernant le pouvoir dopant de l’amour et de la sexualité sur les aptitudes en musculation, et peut être en bénéficiez-vous déjà. Pour vous autres qui êtes encore libres, tachez de rester vous-même, aucune étude n’a pu prouver le fait que les bodybuilders, soit doués d’une attraction particulière envers le sexe opposé, mais il se pourrait que vos phéromones et les hormones vous aident un peu dans votre recherche de l’amour !
Découverte de quelques films essentiels sur le thème du bodybuiding. Documentaires ou ictions ; un bon moyen de voyager dans cet univers.
On a tous été marqué par une performance filmée d’Arnold Schwarzenegger, en bien ou en mal. Comment ne pas être sensible à sa carrure si impressionnante, soit pour l’admirer, soit pour l’exécrer ? S’il est courant que des bodybuilders fassent leur apparition au cinéma pour jouer des rôles de gros durs, peu de films mettent la question du bodybuilding au cœur de l’histoire. On propose ici une présentation de quelques films dans lequel cette pratique sportive joue un rôle important, voire central. On trouvera des documentaires, des films d’action, des drames sociaux ou sentimentaux. La liste n’est pas du tout exhaustive, mais présente plutôt les différentes manières dont le bodybuilding a été montré par le grand écran. Les plus motivés et exotiques d’entre vous peuvent s’attaquer à « I » (trailer), film indien sorti en 2015. Attention, on est là sur du bollywood pur, trois heures et demie de film, des chansons, un film spectacle et des effets spéciaux… douteux. Pour les autres, commencez par les quatre films listés ci-dessous, vous aurez déjà un aperçu correct de ce que le cinéma a produit en matière de grosses musculatures.
Pumping Iron
Pumping Iron, sorti en 1977, est un film-documentaire qui retrace la préparation et la participation d’Arnold Schwarzenegger au concours Mister Olympia de 1975. Au moment du tournage, il a déjà une carrière chevronnée derrière lui, ayant remporté cinq fois le titre, et lorsqu’il s’adresse à la caméra lors des nombreuses interviews, on découvre un professionnel animé d’une passion sans limites. Le documentaire rend un bel hommage au bodybuilding en tant que discipline sportive et esthétique. La scène d’ouverture est à cet égard particulièrement éloquente : plutôt qu’haltères et autres appareils de musculation, c’est une salle de danse qui introduit le personnage. Deux bodybuilders, une ballerine, le contraste est frappant, les biceps de ceux-ci étant bien plus épais que les cuisses de celle-ci… Mais l’objectif est le même : « Le jury ne vous regarde pas seulement quand vous tenez la pose, il vous regarde en permanence ». D’où le travail sur le regard, la lenteur et l’élégance du mouvement entre les poses. Dans la salle d’entraînement, il y a un moment pour le pumping, et un moment où le quintuple Mister Univers corrige les poses des plus jeunes. Le regard plus haut, le bras plus droit, le buste plus affirmé, etc. Une fois sur scène, Schwarzenegger efface ses concurrents tant il expose son corps avec confiance et brio. Cette confiance, il la puise dans son entraînement et dans une détermination exemplaire. La préparation mentale est une composante capitale dans son succès. Son concurrent dans la catégorie des lourds, Lou Ferrigno, le démontre par la négative. Jeune, en permanence épaulé par son père, à la fois ambitieux et intimidé par la grandeur de son adversaire, il lui manque l’aisance et le plaisir de Schwarzenegger une fois sur scène. Sans surprise, ce dernier remporte une nouvelle fois le titre, avant de mettre un terme à sa carrière professionnelle en tant que bodybuilder. Finalement, Pumping Iron n’est rien d’autre qu’un excellent documentaire sur la préparation d’une compétition sportive internationale par un athlète de très haut niveau… avec beaucoup de muscles.
Pain & Gain
Pain & Gain (No pain, no gain en version française) est un film d’action comique sorti en 2013 figurant Dwayne Johnson, Mark Wahlberg et Anthony Mackie, inspiré d’une histoire vraie. Ici, le bodybuilding n’est pas présenté sur son plus beau jour. N’ayons pas peur des mots, tout le film repose sur le fait que les trois personnages principaux, des bodybuilders, sont des abrutis. « Des muscles à la place du cerveau », voilà le ton de cette comédie, à prendre au second degré. Daniel Lugo (Mark Wahlberg), autodéclaré tête pensante du groupe, est un homme à l’ambition à la fois démesurée et toute simple : il veut vivre le rêve américain, accomplir son désir de devenir « un monument de la perfection physique », de devenir quelqu’un. Son plan lumineux, mis sur pied après avoir assisté à une conférence caricaturale sur l’accomplissement personnel et l’esprit d’entreprise, consiste à kidnapper un riche client de sa salle de gym et à lui extorquer sa fortune. Lorsque ses partenaires mettent en doute la validité du projet, sa réponse est à l’image de sa finesse d’esprit : « J’ai vu plein de films, je sais comment ça marche ». Avec lui, un ami encore moins éclairé, prêt à tout pour également devenir quelqu’un — à savoir être riche et trouver une femme en dépit de ses problèmes érectiles — et un autre bodybuilder sorti de prison et s’étant réfugié dans la foi chrétienne. Ce dernier est sûrement le personnage le plus attachant du film : Dwayne « The Rock » Johnson correspond parfaitement à l’image d’un grand gaillard violent aux menaces plutôt convaincantes, mais à qui on s’attache parce qu’il ne sait pas vraiment pourquoi il fait ce qu’il fait, perdu entre ce que lui dictent sa foi, son partenaire et son addiction à la cocaïne. On prend un certain plaisir à voir ces trois athlètes naïfs dépassés par les événements, tuer leurs homologues par mégarde, lever des haltères au milieu d’un bain de sang pour se décontracter, et finalement griller au barbecue, en public — l’histoire étant toujours vraie à ce moment — des membres humains pour faire disparaître les preuves… Un film léger donc, où le désir de perfection physique des personnages finit par devenir désir de richesse, et où l’investissement physique du bodybuilding devient l’outil de réalisation d’opérations illégales, meurtrières, et particulièrement chaotiques. On ne verra pas ce film pour son approche du bodybuilding, mais certainement pour l’action, l’humour et le Q.I. des personnages.
Bodybuilder
Bodybuilder est un film français sorti en 2014, réalisé par Roschdy Zem. On entre ici dans le registre du drame social et familial, puisqu’on suit le parcours d’Antoine, une vingtaine d’années, engagé dans une opération de prêt qui l’amène à être harcelé par des délinquants pas particulièrement doux. Il est envoyé chez son père à Saint-Etienne, où sa mère espère qu’il sera à la fois protégé et suffisamment isolé pour retrouver des activités normales. Son père, il ne l’a pas vu depuis des années et n’a que très peu de souvenirs de lui. A cinquante-huit ans, il est le bodybuilder star du coin, propriétaire d’une salle de sport, entièrement dédié à son activité. Le film s’ouvre d’ailleurs sur un extrait de Pumping Iron, où Schwarzenegger explique à quel point il se détache de tout à l’approche d’une compétition, où la seule chose qui compte, c’est sa préparation physique et mentale. C’est finalement le fil rouge de l’histoire, puisque la relation entre le père et son fils est en permanence conditionnée par l’entraînement du père, la discipline alimentaire à laquelle il se plie, et aux frictions provoquées par la présence de son fils, complètement étranger à cet univers. Si l’on comprend vite que, pour Antoine, ce séjour dans un monde discipliné et passionné fera office de rédemption, on évite toutefois le scénario cliché où le fils se mettrait au bodybuilding comme son père et trouverait là une voie d’émancipation. Plutôt, il observe un regard amusé sur son père, volant certains de ses compléments alimentaires, essayant ses slips de scène devant un miroir en gonflant des muscles qu’il n’a pas. « Putain ça c’est mon père ! ». On n’échappe pas à la trame attendue découverte-crise-réconciliation, mais l’ensemble reste plutôt bien fait, sans être extraordinaire. Le fils finit par comprendre le plaisir que son père trouve dans la pratique du bodybuilding, tandis que le père redécouvre l’affection qu’il a pour son fils. Ici, l’accent est mis sur l’exigence que demande la discipline : alimentation, entraînements très fréquents, solitude, etc. Ce sera finalement la dernière compétition pour ce vieux bodybuilder, une défaite amère, qui, conjuguée à l’arrivée de son fils, le pousse à arrêter. « C’est trop dur ». On retiendra tout de même le règlement de comptes entre les délinquants qui pourchassent Antoine et une vingtaine de bodybuilders, dans une petite laverie. Pas de bagarre, juste des menaces, mais la situation est cocasse. « C’est que de la gonflette, en trois mois si je veux je suis comme eux », lâche le propriétaire des lieux. On a là tout l’enjeu du film : le bodybuilding y est présenté comme un univers incompris, moqué et méconnu, dans lequel on entre petit à petit, pour finir par le voir différemment et l’apprécier pour ce qu’il est. Sûrement pas de la gonflette.
Teddy Bear
Teddy Bear est un film danois sorti en 2012, avec Kim Kold pour acteur principal. Dennis, un bodybuilder professionnel, la quarantaine, vivant seul avec une mère castratrice, décide de se rendre en Thaïlande sur les conseils de son oncle, marié depuis peu à une femme thaï rencontrée sur place. Plongé d’emblée dans le circuit du tourisme sexuel, son malaise est palpable, et les rencontres organisées sont un échec. Le titre du film prend alors tout son sens : un homme aux proportions gigantesques perçu comme un gros dur, qui cache une personnalité particulièrement tendre, qui n’ose dire non à personne et qui fait tout pour s’effacer. Sur l’ensemble des acteurs que l’on croise dans les films présentés ici, Kim Kold est sûrement le plus impressionnant. Grand, le visage dur et carré, le torse couvert d’un tatouage généreux, sa physionomie est aussi importante dans le rôle que son jeu d’acteur. C’est finalement par l’intermédiaire d’un homme rencontré au gym local que Dennis rencontre l’amour, un amour simple et timide, à l’image du personnage, que sa mère aura bien du mal à laisser entrer dans leur relation. La réalisation est simple et efficace, sans lourdeurs sentimentales, sans dialogues romanesques, sans exagération. Ici, le bodybuilding, c’est le négatif, c’est la cause de cette carapace corporelle qui empêche la personne de s’exprimer. Finalement moins un film d’amour que le parcours initiatique d’un homme en peine avec sa vie intérieure.
Conclusion
S’il y a un trait commun à toutes ces approches du bodybuilding, c’est le dépassement de soi. S’il est purement compétitif dans Pumping Iron, il prend des formes davantage psychologiques dans les autres films. Réussite personnelle, vie familiale, émancipation… La culture du corps, la discipline et les efforts qu’elle exige, sont la partie visible de ce travail sur soi. On s’attend à ce que le traitement de cette question soit moins profond dans un film comme Pain & Gain que dans Teddy Bear, par exemple, mais l’intérêt est le même. Si vous cherchez un film qui porte sur le bodybuilding à proprement parler, Pumping Iron est un classique, et dans les plus récents, on vous conseille Generation Iron (trailer) ou encore Bigger Stronger Faster (trailer). En dehors de ces films documentaires, les autres réalisations abordent plutôt la question du bodybuilder en tant que personne, et le lien entre sa pratique sportive et son existence sociale.
Contrairement aux détracteurs qui n’y voient que de la « gonflette », on y comprend bien que l’activité va bien plus loin que ça. Un investissement complet du corps et de l’esprit, où, finalement, plutôt que de la force, c’est de la personnalité qui s’imprime dans les muscles.
Conseils et tutoriel pour réaliser parfaitement les injections intramusculaires ou sous-cutannées : technique, zones où piquer, bons procédés…
Vous êtes nombreux à hésiter sur la transition entre les cures orales et injectables à cause d’une question récurrente.
« Comment faire mon injection ? »
Au travers de ce court article, nous allons tenter de vous aider à passer ce cap à l’aide d’un petit tutoriel.
Injection intramusculaire
L’ injection intramusculaire (injection IM) est le mode d’injection utilisé pour les stéroïdes anabolisants.
Il est aussi possible d’utiliser ce mode d’injection pour des produits comme l’hormone de croissance (HGH) et / ou certains peptides (principalement l’igf-1 et ses variantes) mais c’est beaucoup plus râre et lié à des utilisations spécifiques.
Revenons à ce qui nous intéresse, les injections de stéroïdes anabolisants en intramusculaire.
Avant de commencer vous devez savoir que les produits de même famille peuvent se mélanger dans la seringue.
Les huileux avec les huileux (Sustanon, Trenbolone, Déca-Durabolin etc…)
Les aqueux avec les aqueux (Winstrol, testostérone suspension)
Vous aurez besoin de seringue 3cc ou 5cc. Prévoyez plus large que ce que vous allez vous injecter. Si vous vous injectez 4ml, prévoyez des seringues de 5ml.
Les pharmaciens sont obligés de vous vendre des seringues si vous en demandez, et ils n’ont pas à savoir pourquoi faire, c’est pour votre usage personnel.
Pour les aiguilles, les 21G ou les 23G sont les formats les plus couramment utilisé.
40*0,7 pour les fessiers.
5*0,6 pour les cuisses.
15*0,6 pour les épaules, mollets, biceps, triceps, pectoraux.
Ou piquer ?
Le meilleur endroit pour se piquer avec la plupart des produits, c’est la fesse !
La zone sans risque c’est le quart supérieur externe du fessier. Le nerf sciatique passe dans les autres quarts.
Mais seul, c’est une acrobatie de le faire.
Ou encore, à la pointe du biceps, si vous avez une pointe à votre biceps, sinon, passez votre chemin. Essayez quand même d’éviter les veines.
Dans les triceps, pas de problème si vous restez dans la partie supérieure charnue, que se soit le triceps externe ou interne. Je trouve que c’est douloureux, n’approchez pas des tendons.
Dans les trapèzes, l’avantage c’est que ce n’est pas douloureux.
Dans l’épaule, c’est plus délicat, visez le milieu du deltoïde moyen.
Dans la cuisse, c’est dans le troisième tiers inférieur du vaste externe que vous pouvez donner de l’aiguille.
Dans les mollets, ça fait assez mal, mais c’est souvent indispensable quand on est pas doté génétiquement de bons mollets..
Dans les grands dorsaux, sur le bord externe. A hauteur du bas des pectoraux.
Préparation de l’injection
Vous commencerez par vous laver les mains convenablement. Ensuite, passez un coton imbibé d’alcool sur le caoutchouc du flacon contenant votre produit.
Injecter ¼ de CC d’air dans un flacon à usage multiple permet de remplir plus facilement la seringue par effet de succion.
Ne tapez pas la pointe de votre aiguille contre le fond de l’ampoule, vous l’émousseriez et cela vous ferait un peu plus mal au moment de l’enfoncer.
Ne touchez à rien avec votre aiguille. Si cela arrive, changez-la.
Tapotez votre seringue du doigt afin de chasser l’air jusqu’à ce qu’un peu de liquide s’échappe de l’aiguille. N’épongez pas ce liquide, il lubrifie l’aiguille et lui permet de mieux pénétrer la peau.
Nettoyez la zone d’injection avec un coton imbibé d’alcool et détendez votre muscle, sinon l’aiguille ne vas pas rentrer, voir ressortir ou vous faire mal.
Percez rapidement les épaisseurs de peau (c’est là que ça pique) puis, enfoncez l’aiguille à fond dans le muscle.
Tirez un peu sur le piston. Si du sang remonte vous êtes dans une veine, enlevez tout, changez d’aiguille, recommencez.
Lors de l’injection, allez y doucement, laissez le produit se diffuser, appuyez de manière constante sur le piston. La plupart des produits sont huileux, donc on ne peut pas infecter trop vite, le diamètre de l’aiguille ne le permet pas.
Une fois tout injecté, retirez d’un coup la seringue (ça ne fait pas mal), et passez encore la zone à l’alcool. Faites quelques mouvements et massez la zone pour faire diffuser le produit.
Certains ont utilisé ce type d’injection pour la testostérone mais ce n’est pas des plus adapté pour l’absorption du produit par les tissus.
Nous vous conseillons donc de n’utiliser les injections sous-cutanées (SC) uniquement pour les peptide, l’hgh et l’epo.
Vous commencerez par vous laver les mains convenablement. Ensuite, passez un coton imbibé d’alcool sur le caoutchouc du flacon contenant votre produit ainsi que sur la zone d’injection.
Il existe 4 zones d’injections SC.
Partie externe des bras
Abdomen (notre préférence)
Partie antérieure des cuisses
Partie supérieure externe des fesses
Une fois votre zone d’injection choisie et désinfectée, faites un pli cutané entre le pouce et l’index
Introduire l’aiguille avec un angle de 45° ou 90° selon l’épaisseur du tissu cutané, d’un geste rapide, précis et ferme.
Ne pas relâcher la peau car le relâchement des tissus risquerait d’introduire l’aiguille dans un muscle.
Tirer le piston pour vérifier l’absence d’un reflux sanguin. S’il y a un reflux sanguin, sortir l’aiguille et préparer une nouvelle seringue.
Injecter lentement le produit et retirer ensuite l’aiguille d’un geste rapide et indolore.
Avez-vous eu vent de ces athlètes qui s’entraînent avec acharnement dans ce qu’on appelle des « box » ? Si vous alliez leur rendre visite, vous les verriez sauter, grimper, soulever, courir… Courir après un corps au top de la forme et un mental d’acier, sans oublier le plaisir de repousser ses limites. Bienvenue dans le monde intense du Cross-fit. Ils ont leur vocabulaire spécifique et sont de plus en plus nombreux chaque année, ces sportifs débutants ou expérimentés, de tout âge, hommes et femmes à adopter ce sport !
En quoi consiste le Cross-fit et pourquoi est-il si tendance ?
Qu’est-ce que le Cross-Fit ?
« Le corps tout entier mis à l’épreuve »
Abréviation de Cross Fitness signifiant entraînement physique croisé, certes le Cross-Fit n’a pas inventé le circuit training mais il lui a bel et bien apporté un nouveau souffle.
C’est un mélange de mouvements fonctionnels issus de plusieurs activités: l’haltérophilie induisant le contrôle d’une charge externe, l’endurance (course, corde à sauter, rameur) et enfin la gymnastique (tractions, anneaux, suspensions, sauts etc…).
Cet entraînement a pour but de préparer ses pratiquants à n’importe quel efforts physiques rencontrés dans le quotidien et le sport en général grâce à la variété des entraînements, l’utilisation de mouvements poly-articulaires et l’intensité élevée.
La méthode est arrivée avec son vocabulaire et ses abréviations spécifiques, tels que par exemple :
Box : la salle de Cross-Fit, votre (futur) foyer.
Girls : Les noms de WOD.
AMRAP : A répéter le plus grand nombre de fois qu’il est possible
For time : le plus rapidement possible sans s’arrêter, c’est le temps écoulé qui sert de résultat
Un WOD, qu’est-ce donc cela, et comment s’agence une séance ?
Le WOD, c’est l’abréviation de « Workout of the Day », l’entraînement du jour. Il désigne l’enchaînement d’exercices à accomplir durant la séance, à haute intensité. Il est généralement différent à chaque séance, c’est un peu la surprise du jour et le moment où l’on se défoule un maximum. Cependant, rien ne vous empêche de créer vous-même votre WOD, et cela peut être même devenir ludique lorsque l’on inclut le hasard dans le choix des exercices, du nombre de répétitions, etc…
Voici quelques exemples de WOD pour vous donner une idée de la variété de WOD qui existent déjà :
Cindy : 5 Tractions – 10 Pompes – 15 Squats, AMRAP (As many round as possible) en 20 minutes
Chelsea : Chaque minute, pendant 30minutes : 5 tractions – 10 pompes – 15 squats
Barbara : 5 rounds for time : 20 Tractions – 30 pompes – 40 sits up – 50 squats (3min de pause entre chaque round)
La séance est généralement d’une heure dans une salle affiliée et elle se compose de la manière suivante :
10min de Warm up, l’échauffement dynamique, où l’on exécute des mouvements sans intensité qui vont bien échauffer les articulations sollicitées pendant le WOD, afin d’éviter les blessures.
20min de travail technique où l’on peut revoir certains mouvements pour s’améliorer techniquement.
10 à 20min de WOD, le réel entraînement du jour avec un objectif et une forte intensité.
10min d’auto massage ou d’étirements, un retour au calme où l’on étire les muscles qui ont été sollicités et l’occasion d’améliorer sa flexibilité.
Le Cross-Fit, de 7 à 77ans?
Le Cross-fit peut correspondre à tout le monde, quel que soit l’âge et le sexe, à la condition de ne pas avoir des problèmes de santé contre-indiquant sa pratique. Bien entendu, une bonne condition physique est un atout pour commencer, car malgré que la méthode s’adapte à de nombreux profils, il ne faut pas oublier qu’elle vise une intensité élevée pendant l’effort. Il est bien souvent possible d’adapter les exercices à son niveau, en le remplaçant par une variante plus simple mais ciblant les mêmes muscles, dans l’optique de s’entraîner en tout sécurité avant tout, pour pouvoir progresser.
Si votre corps en redemande, il y a des Opens qui servent de présélection au niveau régional et les championnats officiels internationaux « CrossFit Games », 4 jours d’intenses affrontements durant lesquels les athlètes doivent réussir 12 épreuves qu’ils ne connaissent pas et ce dans les meilleurs temps possibles. C’est n’est donc pas sans rappeler les 12 travaux d’Hercule ! De même, on revient à l’une des particularités du CrossFit qui est de se préparer à toutes épreuves physiques, sans spécialisation particulière.
« Personne ne pourra jamais quitter son canapé, et un an plus tard, participer aux CrossFit Games » Jason Khalipa.
Malgré que les CrossFit Games requièrent un certain niveau, Jason Khalipa, Vainqueur des Championnats en 2008 précise tout de même que par exemple dans le domaine du Football américain, certains ont l’expérience des entraînements à haute intensité depuis des années et qu’en 1 ou 2 ans ils peuvent obtenir de bons résultats.
Histoire du CrossFit
« De l’ombre à la lumière »
Né dans un garage en 1974 aux USA, le fruit d’imagination de Greg et Lauren Glassman a servi notamment à entraîner les forces de Police de Santa Cruz là où la même année ouvre la 1ère salle en 1995.
Le Cross-fit s’est donc développé à partir d’une unique salle en 1995. Elle compte jusqu’à près de 11560 membres aujourd’hui contre 18 en 2005 et environ 1700 en 2010. Bien sûr, dans un premier temps Internet et un site créé en 2001 ont pu aider à faire connaître cette méthode, mais c’est tout récemment que l’on a pu observer un essor de ce qui est devenu un sport, avec les Cross-fit Games. Ces championnats ont eu lieu la première fois à l’été 2007 et ils se sont répétés ainsi chaque année depuis. Récompensés au départ par la modique somme de 500€, ce sont de nos jours 275 000€ qui sont reversés aux vainqueurs, masculins et féminins. Cela n’est surement pas sans rapport avec le fait que les championnats ont été renommés Reebok CrossFit Games à partir de 2011 grâce au partenariat avec la célèbre marque sportive. En effet, avant cela, il n’y avait pas de gros sponsors, pas de réels gains monétaires, et il n’y avait pas autant de participants qu’actuellement. Au-delà de ce que peut apporter l’argent des sponsors, cette mise en avant permet d’attirer un maximum de personnes et donc de proposer des championnats d’un niveau toujours plus élevé.
Avantages du CrossFit
« Des atouts qui ont fait son succès »
Camille Leblanc-Bazinet, vainqueur en 2013, déclare avoir un « sentiment de puissance, d’être aux commandes de sa vie, ne pas avoir peur, pouvoir affronter les aléas de la vie »
Ce sport tend à nous faire devenir des athlètes du quotidien, en développant des nombreuses qualités physiques, avec des mouvements fonctionnels transposables à la vie courante, mais aussi en renforçant le mental et la confiance en soi. Votre principal concurrent, c’est vous-même car vous serez amené constamment à vous dépasser et repousser vos limites.
La variété des exercices éloigne le sentiment de lassitude et de routine que l’on peut connaître parfois en musculation ou en fitness, et on peut tout à fait complémenter le CrossFit avec un autre sport, en respectant les temps de repos si cela est nécessaire.
Aussi, le dynamisme du Crossfit, par le mouvement et l’enchaînement rapide d’exercices est aussi très séduisant.
Pour cela, la communauté CrossFit est d’un grand soutien en plus d’être très active.
« C’est un sport individuel, mais pas vraiment en fait… » Rich Froning Jr, Vainqueur 2011, 2012, 2013 et 2014 aux Crossfit Games.
Pour beaucoup, c’est un vrai point fort pour ce sport, ce qui est vrai en général dans tous les sports, mais je pense que l’engouement et le sentiment de nouveauté autour de ce sport joue un rôle important dans les comportements généreux et altruistes entre adeptes.
En effet, dans le box il y a toujours quelqu’un qui est là pour vous encourager quand vous en avez besoin ou meilleur que vous dans un domaine, plus fort ou plus doué en Gym par exemple, et donc tout le monde peut apprendre des autres. Ce qui favorise la progression et le fait de toujours pouvoir apprendre quelque chose, d’autant qu’il y a énormément de chose à expérimenter dans le CrossFit. Enfin, les coachs jouent un rôle primordial dans la progression des pratiquants, par leur suivi et leurs connaissances, validées par des niveaux de certifications.
Conclusion
« Tout le monde devrait en faire » Rich Froning Jr & Jason Khalipa.
Le CrossFit peut être une alternative, un complément voir une très bonne initiation au sport car c’est un sport que l’on peut aborder avec différents objectifs, que ce soit de la remise en forme, modifier sa silhouette ou encore pour la compétition. C’est une méthode très dynamique et complète qui nécessite toutefois des précautions au niveau de la sécurité des mouvements et des postures, sans oublier les étirements et échauffements. Il ne faut pas forcément céder à la tentation de faire des mouvements mal exécutés pour grappiller quelques répétitions, ce serait dommage de foncer tout droit vers une blessure alors que les Crossfit Games vous attendent !
Enfin, le CrossFit offre un lien social et un esprit de groupe pas forcément uniques en leur genre, mais très précieux et presque déroutants lorsque l’on en a pas vraiment l’habitude et que l’on s’entraîne seul chez soi d’habitude, par exemple.
A vous de jouer ou dois-je dire transpirer, tentez l’expérience vous aussi !